Le Coran ! LIVRE SACRé QU'A RéVéLé L'ANGE GABRIÏL AU PROPHèTE MUHAMMAD, ET à SES FIDèLES LES MUSULMANS !

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Le Saint Coran, est le livre sacré qu’a révélé l’ange Gabriel au prophète Mohammed, à ses fidèles les musulmans.  Cette particulière révélation a duré une période de 23 ans. Le Coran est donc la création divine sur laquelle reposent tous les principes et concepts de l’islam ainsi que la loi islamique par excellence (La Chariâ).

Le Saint Coran, est parfois appelé simplement Al-kitâb (Le livre) ou encore Adh-dhikr (le rappel). Le Saint Coran correspond à l’une des deux parties de la révélation de Mohammed, la première étant  les hadiths prophétiques.

L’habitude et la culture musulmane présentent le Coran comme le premier ouvrage qui a été rédigé en langue arabe, prouvant ainsi son inimitabilité. Le Saint Coran comporte au totale un groupement de 114 sourates dont la première est appelé Sourate El Fatiha, et c’est elle qui est toujours répété lors des prières et que tous les musulmans connaissent. Chaque Sourate du Saint Coran, est composée d’Ayats. La plus grande sourate étant celle d’El Bakara, qui est composée d’un très grand nombre d’Ayats (286 au total).

Premiers pas de l'islam : Révélation et connaissance :

Seul dans la caverne de Hirâ, Mohammed poursuivait sa quête de vérité et de sens.

C’est alors que l’ange Gabriel lui apparut soudain et lui ordonna : « Lis ! » Mohammed répondit « Je ne suis pas de ceux qui lisent ». L’ange Gabriel le serra très fort, jusqu’à la limite de ce qu’il pouvait supporter, et ordonna une seconde fois : « Lis ! » Et Mohammed de répéter : « Je ne suis pas de ceux qui lisent ! » L’ange le serra à nouveau au point de l’étouffer, puis répéta une troisième fois : « Lis ! » La même réponse dut réitérée : « Je ne suis pas de ceux qui lisent ». L’ange le serra une troisième fois puis récita :

Lis au nom de ton Seigneur qui a crée ! Il a crée l’Homme d’une adhérence.

Lis, et (car) ton Seigneur est le plus Généreux. Il a instruit l’Homme au moyen du calame (La plume) ; Il lui a enseigné ce qu’il ne savait pas. (Coran 96, 1-5)

Ces mots étaient les premiers versets du Coran révélés au Prophète par l’intermédiaire de l’ange Gabriel. Mohammed lui-même, et bien plus tard son épouse Aïsha, certains compagnons puis des traditionnistes, jusqu’à Ibn Ishâq et Ibn Hishâm, ont rapporté cet événement comme ceux qui suivirent de façon généralement similaire, avec néanmoins, quelques différences quant à certains faits ou à leur chronologie. L’ange Gabriel s’en alla et laissa le Prophète dans un état de trouble profond. Il avait peur et ne savait pas s’il s’agissait d’une vision démoniaque ou s’il était simplement possédé.

Il décida de s’en retourner auprès de son épouse. Mohammed lui expliqua ce qui venait de se passer et lui fit part de sa peur. Khadija le réconforta et lui murmura « Tu n’as rien à craindre. Repose-toi et calme-toi. Dieu ne te laissera pas souffrir une humiliation parce que tu es bon avec les tiens, tu dis la vérité, tu assistes quiconque est dans le besoin, tu accueilles de la meilleure façon ton hôte et tu soutiens toutes les causes justes ».

Foi, connaissance et humilité :

 

Les premiers versets révélés au Prophète, qui ne savait no lire no écrire, dirigent directement son attention vers la connaissance. Incapable de lire ni de réciter alors qu’il est livré à ses seules facultés, Dieu l’appelle à lire : « Au nom de ton Seigneur » et établit immédiatement un lien entre la foi en Dieu et la connaissance. La dignité des Hommes octroyée par la connaissance ne saurait ses limites et qui, en cela, a reconnu l’impératif de la foi. Accepter, et accepter de ne pas comprendre, la présence mystérieuse de la lettre nûn nécessite la foi, comprendre et accepter l’exposé sans mystère des versets qui suivent impose l’usage d’une relation active, mais rendue nécessairement, et au fond, naturellement humble. Nous sommes déjà au cœur des enseignements fondamentaux de l’islam : à la double dimension du savoir, qui ne saurait être sans la conscience humaine des limites, la Révélation, va en ajouter une troisième en se référent à la « noble moralité » du Prophète.

La situation allait s’aggraver encore car, durant les mois qui suivirent, la Révélation cessa. Cette période de silence, d’une durée de six mois à deux ans et demi selon les différentes traditions, va beaucoup faire douter et souffrir le Prophète. Il pensait ne plus être digne de recevoir la Révélation, qu’il avait été abandonné ou bien qu’il avait été tout simplement ensorcelé. Il vivait la même expérience qu’Abraham, dans l’épreuve de ce silence.

Après cela, l’Ange Gabriel l’accompagna et révélera, pendant vingt ans, au gré des situations et de façons irrégulière, les versets et les sourates qui à terme constitueront le Coran. Chaque année, pendant le mois de Ramadan, le prophète récitait à l’ange Gabriel l’ensemble de ce qu’il avait déjà reçu du Coran dans l’ordre prescrit. Il était ainsi procédé à une vérification régulière du contenu et de la forme du Livre qui s’élabora, lentement, sur une période de vingt- trois ans.

 Mahomet réorganise Yathrib, où il est en même temps chef religieux, politique et militaire. Il s'appuie à la fois sur les deux tribus arabes et les trois tribus juives qui y vivent. Au fil du temps, les musulmans déchantent et prennent leurs distances avec les « gens du livre ». La rupture est marquée lorsque la direction de la prière devient la Ka'ba à La Mecque et non plus Jérusalem.

 Le Prophète est venu aux hommes avec un Message de foi, d’éthique, et d’espérance. Tout, néanmoins, absolument tout dans sa vie était un instrument de renouveau et de transformation : du moindre détail aux plus grands événements qui ont jalonnée son existence, l’observateur, le fidèle, le croyant, tire des enseignements et s’approche de l’essence du message et de la lumière de la foi. Le Prophète priait, méditait, se transformait, et transformait le monde. Guidé par Son Educateur, il résistait au pire de soi et offrait le meilleur de son être parce que tel était le sens du jihâd, tel était le sens de l’injonction appelant à promouvoir le bien et à prévenir le mal. Sa vie était la personnification de cet enseignement.

 

 

Suite !! 

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