La trame akhashique présentée à P.B. lors de son contact lui a montré que le voyage de Fen-Tsé avait duré 200 années terrestres, au cours desquelles ce dernier s’était lui-même plongé, en compagnie des autres membres de l’équipage du vaisseau régulien, dans un état d’hibernation spatio-temporelle. Car en cet âge reculé, les habitants de Regulus n’avaient pas encore mis au point le système de propulsion astronautique qui permet aujourd’hui à la plupart des êtres d’outre-espace de franchir le mur de la lumière et d’accélérer leur vitesse de déplacement bien au-delà de la vitesse de la lumière.
Fen-Tsé était un homo sapiens aux traits asiatiques et il fut à l’origine de la création de la race jaune et de la fondation de toutes les civilisations de l’Extrême-Orient.
Parmi les nations de l’Extrême-Orient, il en existe au moins trois dont les souverains régnèrent longtemps sur la base d’un mandat confié par des Reguliens. Il s’agit de la Chine, où la déesse Kwan Yin, dont le nom signifie « Princesse du Cœur du Lion », est considérée par les érudits taoïstes comme un Être venu jadis de l’une des plus brillantes étoiles de notre galaxie, du Tibet, où le Dalaï Lama est reconnu comme l’incarnation d’un Être cosmique du nom de Chenrezig (Cherenzig étant la polarité masculine de Kwan Yin), et enfin du Japon, dont les empereurs descendent d’Ameratsu, qu’ils vénèrent en tant que déesse solaire, mais qui fut en réalité le fruit de l’union d’une humaine et d’un membre de l’équipage du vaisseau commandé par Fen-Tsé.
Kwan Yin, déesse vénérée à travers tout l’Orient, vient de Regulus (Alpha de la Constellation du Lion)
Kwan Yin est une divinité syncrétique où se rejoignent deux grands symboles : celui de la Mère Divine (en Chine principalement) et celui du Bodhisattva de la Compassion, que l'on trouve au Tibet sous la forme de Chenrezig (« les Yeux de l’Amour ») et de Tara. Kwan Yin et Chenrezig, que l’on présente parfois comme son pendant masculin, ont tous deux le même mantra : Om Mani Padme Hum.
Toutes les connaissances scientifiques, métaphysiques, alchimiques, théurgiques actuellement disponibles sur notre planète furent importées jadis d’autres systèmes solaires de notre galaxie par des Êtres Cosmiques dont Fen-Tsé n’est qu’un représentant parmi beaucoup d’autres : a-t-on seulement la plus petite idée de qui furent les Titans et les Elohim, à l’époque des Noces d’Or entre Ouranos et Gaïa ? Les Titans furent nos ancêtres galactiques et assistèrent, il y a 5 milliards d’années, à la naissance de la première Âme de notre système, celle du Soleil. Quant aux Elohim, ils viennent de Vénus et étaient vénérés par les Cananéens au début de l’Ère du Bélier en tant qu’ambassadeurs du Dieu-Roi El auprès de l’humanité.
Mais que sait-on aujourd’hui de nos origines et des dissidences qui apparurent un jour chez les Dieux, les Anges et chez les Titans, à l’époque où les Nephelim se dressèrent contre Atlas, Hercule et Ashur, et où la déesse Lilith décida d’initier Adam à la sexualité ?
Savez-vous qu’il existait alors un Conseil de la Lumière, qui autorisa Adam à s’unir à cette déesse et l’humanité à entamer un long périple d’involution dans la matière ? Savez-vous que ce Conseil existe toujours, qu’il dispose de l’autorité sur toute notre galaxie et siège aujourd’hui en Orion, sur l’une des planètes du système de la géante rouge Betelgeuse ?
Orthon, de la planète Vénus, qui fut rencontré en 1952 par George Adamski dans un désert de Californie du sud, vit dans un autre plan de conscience que le nôtre, un plan que l’on peut qualifier de spirituel ou d’octave fréquentielle de septième dimension, mais il a la possibilité de se matérialiser dans notre fréquence physique spatio-temporelle de troisième dimension.
L’histoire de cette rencontre est relatée dans l’extraordinaire livre de Colin Bennett : « Looking for Orthon » (Éd. Arcturus Books – 2002).
Orthon s’est également adressé à différentes reprises à notre ami français dont je souhaite préserver l’anonymat. Il lui a confié que l’outre-espace renferme une diversité de civilisations et une variété de créatures qu’il nous est encore impossible de concevoir. Il existe même une race d’insectoïdes ! Ces êtres sont gouvernés par une sorte de mante religieuse géante dont la présence est d’ailleurs inscrite dans la mémoire collective de quelques peuplades d’Amazonie : de même que ceux d’entre nous qui furent victimes de l’abomination nucléaire à l’époque de l’Atlantide, en conservent à jamais une empreinte indélébile dans leur âme et militent d’ailleurs souvent aujourd’hui au sein d’associations anti-nucléaires, de la même manière, certains de ceux qui furent victimes de la Mante religieuse de Mu du Dragon à l’époque pré-lémurienne, alors que la conscience humaine n’était pas encore individualisée, sont actuellement réincarnés dans ces tribus et conservent une inexplicable aversion pour cet insecte carnassier : sa présence sur un objet familier est considérée par eux comme un présage de grand malheur.
Orthon (qui, soit dit en passant, s’est cette fois matérialisé dans notre octave fréquentielle sous l’apparence d’une très jolie femme) a en outre révélé à notre ami P.B. que parmi les humanoïdes qui viennent aujourd’hui nous visiter à bord de vaisseaux supra-luminiques, certains sont en réalité nos descendants ! Curieusement, beaucoup viennent d’une époque qui commencera au quarante-quatrième siècle après J.C., car le XLIVème siècle de notre calendrier correspond à l’avènement de l’Ère du Capricorne, époque au cours de laquelle chacun d’entre nous sera appelé à explorer les racines et les fondations de l’avènement de la Fraternité sur la Terre, au cours de l’Ère qui est pour nous sur le point de commencer : celle du Verseau.
Ils expérimentent cette incursion dans leur passé lointain (qui correspond à notre présent), ce qui leur donne la possibilité de mieux comprendre ce qu’ils vécurent à notre époque (ce que nous vivons aujourd’hui), en cette extraordinaire période d’expansion de conscience qu’il nous est à présent demandé à tous et à chacun de traverser avec amour, compassion, dignité, tout en conservant, autant que faire se peut, par delà les difficultés, les souffrances et les apparentes injustices de notre plan d’existence, une attitude positive de confiance en la divine Providence, soutenue par l’idéal de paix et de retour en la Lumière…
L’homme, en tant qu’être cosmique, existe de toute éternité. Il n’est qu’une petite étincelle jaillie de la Conscience du Créateur il y a des milliards d’années, bien avant la naissance de notre système planétaire et de notre Soleil. Il accompagne la Terre depuis le début de sa formation, longtemps avant l’apparition de la vie organique au sein de l’Océan Primordial. Et il l’accompagnera encore, lors de son Ascension et jusque bien au-delà de la quatrième dimension, dans la multidimensionnalité, cet accès sublime à l’immensité de la Vie cosmique que nous devons désormais tous nous préparer à expérimenter.