Commenaires personnels : Voilà comment est introduit la sainte trinité et le dimanche, et comment l'homme se substitue à Yahweh en prenant pour lui-même, ce que nous devons accomplir pour Yahweh et l'Elu, Son Messie, le Fils de l'Homme !! Ici nous retrouvons la sainte trinité mentionnée, et le dimanche, et les règles distortionnées en utilisant les écritures. Ici l'avilissement de l'homme, la main mise sur l'homme pour la pseudo humilité, le Dieu vengeur et redoutable, l'Amour de Yahweh est pratiquement inexistant !! La Prison mentale, morale et la camisole du silence ! La porte ouverte des abus sans que personne ne puisse réagir, faute d'être accusé d'orgueil ! Et tout cela avec le consentement des personnes !
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Prologue
Ecoute, mon fils, les préceptes de ton Maître, prête-moi l'oreille de ton cœur : accueille les avis d'un tendre Père afin de les accomplir efficacement et de revenir par le labeur de l'obéissance a Celui dont t'éloignait la lâcheté de la désobéissance.
Cette divine exhortation je te l'adresse maintenant, à toi qui, renonçant à tes propres volontés pour militer sous le vrai Roi, le Christ Notre-Seigneur, prends en mains les armes puissantes et glorieuses de l'obéissance.
Mais au préalable quelque œuvre bonne que tu entreprennes demande-lui, par une très instante prière, qu'il lui plaise de la parfaire, de peur qu'après avoir daigné nous compter au nombre de ses fils, il ne doive un jour s'attrister de nos mauvaises actions. Oui, il nous faut en tout temps consacrer à son service les biens qu'il a mis en nous, de crainte qu'il n'en vienne, comme un père courroucé, à déshériter ses enfants, ou qu'en maître irrité de nos méfaits chose plus redoutable encore, il ne livre aux châtiments éternels les serviteurs vicieux qui auraient refusé de le suivre à la gloire.
Levons-nous une fois pour toutes aux accents de l'Ecriture qui nous stimule et nous dit : "Le moment est venu de sortir du sommeil." Et les yeux ouverts à la lumière de Dieu, comprenons enfin la portée de l'oracle divin qui chaque jour vient frapper nos oreilles " : Aujourd'hui, si vous entendez sa voix, gardez-vous d'endurcir vos cœurs." Et en un autre endroit " : Que celui qui a des oreilles pour entendre, écoute ce que l'Esprit dit aux Eglises." Et que dit-il ? "Venez, mes fils écoutez-moi : je vous enseignerai la crainte du Seigneur. Courez pendant que vous avez la lumière de la vie, de peur que les ténèbres de la mort ne vous surprennent."
Mais voici que le Seigneur, cherchant dans la foule des hommes un ouvrier de ses volontés, adresse à tous cet appel : "Quel est celui qui aime la vie et désire couler des jours heureux ?" Que si, docile à cette voix, tu réponds : "Eh bien, moi !" Dieu reprend aussitôt: "Si tu veux jouir de la vie véritable et éternelle, garde ta langue de la médisance, et que tes lèvres ne profèrent pas de paroles trompeuses : détourne-toi du mal et fais le bien ; cherche la paix, poursuis-la avec ardeur. Et lorsque vous aurez agi de la sorte, mes yeux Se reposeront sur vous, mes oreilles se prêteront à vos prières, et avant même que vous m'invoquiez, je vous dirai : "Me voici!" Est-il pour nous rien de plus doux, frères bien-aimés que cette parole du Seigneur qui nous invite ? Vous voyez que lui-même, dans sa bonté paternelle. nous montre la voie de la vie !
Que la foi soit donc la ceinture de nos reins, et que, sous la conduite de l'Evangile, la pratique des bonnes œuvres nous entraîne dans ses sentiers, afin que nous méritions de voir un jour Celui qui nous appelle à régner avec lui. Car si nous voulons dresser notre tente dans sa royale demeure, sachons bien qu'à moins d'y courir à force de bonnes œuvres nous n'y parviendrons jamais.
Dès lors, interrogeons le Seigneur en disant avec le Prophète : "Seigneur, qui habitera dans ton tabernacle ? Qui habitera sur ta montagne sainte ? L'ayant interrogé en ces termes, écoutons, mes frères, la réponse du Seigneur: il nous montre le chemin qui mène à ce tabernacle lorsqu'il dit : " Celui dont la conduite est sans tache et qui pratique la justice, celui qui dit la vérité du fond de son cœur, qui ne se sert point de sa langue pour tromper, qui ne cause de mal à personne et n'adresse pas de discours injurieux au prochain." C'est encore celui qui, s'il est sollicité au mal par le démon, le repousse, vomit ses suggestions, lui ferme la porte de son cœur, le réduit a néant, et saisissant les rejetons de la pensée diabolique les broie contre le Christ. Ce sont enfin ceux qui, éclairés par la crainte de Dieu ne conçoivent nul élèvement de leur bonne observance, mais qui, reconnaissant que tout ce qu'ils ont de bien vient de Dieu et ne peut procéder d'eux-mêmes, glorifient le Seigneur de ce qu'il opère en eux, et lui disent avec le Prophète : " Ce n'est pas a-nous, Seigneur, ce n'est pas à nous, mais c'est à votre Nom qu'il faut rendre gloire. "L'apôtre Paul ne s'est pas davantage attribué le moindre succès de sa prédication : "C'est par la grâce du Seigneur, disait-il, que je suis ce que je suis, et ailleurs : "Qui mérite louange, en rende gloire à Dieu."
Aussi le Seigneur dit-il dans l'Evangile : "Celui qui écoute mes paroles et les fait passer en actes, je le comparerai à l'homme sage qui a bâti sa maison sur la pierre : les fleuves ont débordé, les vents ont soufflé et se sont déchaînés contre cette maison, et elle ne s'est pas écroulée, parce qu'elle était fondée sur la pierre."
En somme, le Seigneur attend de jour en jour que nous rendions nos actions conformes à ses saintes ordonnances. Et c'est pour l'amendement de nos fautes qu'il nous prolonge comme une sorte de trêve les jours de la vie terrestre, selon la parole de l'Apôtre : "Ne comprends-tu donc pas que la patience de Dieu veut t'acheminer à la pénitence ?" Car le Seigneur, dans sa bonté, déclare : "Je ne veux pas la mort du pécheur, mais qu'il se convertisse et qu'il vive."
Nous avons demandé au Seigneur, mes frères, quelles sont les qualités requises pour habiter dans ses tabernacles : nous avons appris de lui à quelles conditions on peut y entrer ; maintenant le tout est de savoir si nous en remplirons les obligations.
Il s'agit donc de nous préparer, corps et âme, au combat spirituel, celui de l'obéissance aux divins préceptes. Et quand la nature en nous doit s'avouer inférieure à la tâche, supplions le Seigneur qu'il daigne nous prêter le secours de sa grâce. D'autre part, si nous voulons échapper aux peines de l'enfer et parvenir à la vie éternelle, il nous faut bien user du temps qui nous reste à passer sur terre, et tandis qu'il nous est loisible de nous acquitter de tous ces devoirs, nous ne saurions trop nous hâter d'accomplir à la lumière de la vie présente ce qui nous profitera pour l'éternité.
Dans cette vue nous allons fonder une école où l'on apprenne à servir le Seigneur. Et nous espérons l'établir sans y instituer rien de pénible, rien d'accablant. Encore peut-il s'y présenter quelque norme un tant soit peu sévère, pour la raison bien justifiée de l'amendement de nos vices et du maintien de la charité : garde-toi bien alors, saisi d'une belle peur, d'abandonner soudain la voie du salut : sache qu'on ne peut s'y engager que par la porte étroite. Mais à mesure que l'on progresse dans l'observance régulière et dans la foi, le cœur se dilate, et avec une inexprimable douceur d'amour on marche à grands pas clans la voie des préceptes de Dieu; et c'est ainsi que, sans nous écarter jamais de l'enseignement du Maître, persévérant jusqu'à la mort à pratiquer dans le monastère la doctrine qu'il nous a laissée, nous prenons dans la patience notre part des souffrances du Christ et méritons d'avoir part également à la gloire de son royaume.
Amen.
1. Des diverses sortes de moines.
On compte quatre sortes de moines, la chose est reconnue.
La première est celle des Cénobites, à savoir des moines qui se constituent en une milice conventuelle sous une Règle et un Abbé.
La deuxième est celle des Anachorètes, c'est-à-dire Ermites. Ceux-ci n'en sont plus à la ferveur des débutants dans la vie religieuse déjà, une longue période de probation au monastère leur a appris, avec l'aide et les leçons de plusieurs, comment l'on tient tête au démon : aguerris, ils sortent alors des rangs serrés de leurs frères pour affronter le combat singulier du désert, et assurés de pouvoir se passer désormais de l'encouragement d'autrui, ils ne comptent plus que sur l'aide de Dieu et sur eux-mêmes dans la lutte qu'ils soutiendront à la seule force de leur bras et de leur poignet, contre les vices de la chair et des pensées.
Il existe une troisième catégorie de moines, de tout point détestable, celle des Sarabaïtes. Réfractaires à l'épreuve d'une formation régulière, rebelles aux leçons de l'expérience, au lieu de se purifier comme l'or dans la fournaise ils s'amollissent à la manière du plomb. Leurs œuvres témoignent qu'ils gardent leur foi au siècle, et qu'ils mentent à Dieu par leur tonsure. Ils s'enferment deux ou trois ensemble, ou même seuls, sans pasteur, dans leurs propres bercails, non dans ceux du Seigneur. Ils n'ont de loi que la satisfaction de leurs désirs. Tout ce qui leur vient à l'esprit, ce qui a leur préférence, ils le tiennent pour saint, et ce dont ils ne veulent pas, ils l'estiment illicite.
La quatrième espèce de moines est celle des Gyrovagues. Ceux-ci, toute leur vie durant, courent d'une province à l'autre. Ils se font héberger trois ou quatre jours dans les cellules d'autres religieux ; perpétuels vagabonds, ils ne se fixent nulle part, et ne s'asservissent qu'à leurs caprices et à l'appât de la bonne chère ; bref ils sont pires à tous égards que les Sarabaïtes. Une telle manière de vivre, tant des uns que des autres, est des plus misérables : mieux vaut se taire que d'en parler. Laissons-les donc de coté, et, avec l'aide de Dieu, venons-en à l'organisation de la race valeureuse des Cénobites.
. Quel doit être l'abbé.
L'abbé, s'il est vraiment digne de gouverner son monastère, se souviendra sans cesse du nom qu'il porte, et s 'efforcera de réaliser dans ses actes sa qualité de supérieur. Car il est tenu dans la communauté pour le vicaire du Christ, il est désigné du même titre que lui, selon la parole de l'Apôtre : Vous avez reçu l'esprit d'enfants adoptifs : aussi, vous adressant à Dieu, l'appelez-vous : Abba, c'est-à-dire, Père. L'abbé ne doit donc rien enseigner, rien établir ni ordonner, qui s'éloigne des préceptes du Seigneur; mais que ses ordonnances et ses enseignements, tel un ferment de justice divine, se répandent dans le cœur de ses disciples.
L'abbé aura toujours devant les yeux le rigoureux jugement que Dieu lui fera subir sur deux points : l'usage de son autorité et l'obéissance qu'il exige de ses disciples : le pasteur, en effet, que l'abbé le sache bien, verra imputer à' sa charge tout mécompte relevé par le Père de famille dans ses ouailles. Il se présentera pareillement au jugement de Dieu, mais cette fois pour y être absous, Si, ayant affaire à un troupeau turbulent et indocile, il apporte tous ses soins. toute sa diligence pastorale a la guérison de leurs infirmités : dans ce cas, il pourra dire au Seigneur avec le Prophète : " Je n'ai point gardé secrète et pour moi seul votre justice : j'ai publié vos sentences de vérité et de salut ; mais eux, ils en ont fait fi, ils n'ont méprisé." Et à l'heure dernière, ces brebis intraitables auront pour châtiment la mort elle-même qui l'emportera enfin sur leur obstination.
Celui donc qui assume la charge d'abbé doit imposer à ses disciples une double formation : s'il enseigne par le langage toutes choses bonnes et saintes, il doit plus encore le faire par ses actions. Aux âmes ouvertes et compréhensives, qu'il intime de vive voix les commandements du Seigneur ; pour les natures grossières et les esprits bornés, c'est par ses œuvres qu'il leur représente ces mêmes préceptes divins. Qu'il prenne aussi grand soin de ne pas autoriser par sa conduite ce qu'il aurait condamné dans ses discours, de peur que tout en prêchant aux autres il n'encoure lui-même la réprobation. et que Dieu ne lui dise un jour : "Pécheur, comment oses-tu proclamer mes saintes lois, comment tes lèvres peuvent-elles proférer les règles de mon alliance ? alors que tu hais toute discipline et que, pour ton compte, tu rejettes mes paroles ?" Et encore : " Tu voyais la moindre paille dans l'œil de ton frère, mais tu n'apercevais pas la poutre dans le tien." Qu'il ne fasse point acception des personnes dans le monastère. Qu'aucun ne soit plus aimé de lui que les autres, excepté celui qui excellera davantage à ses yeux dans les bonnes œuvres et l'obéissance. L'homme de naissance libre ne sera pas préféré à celui qui vient de la condition servile, à moins qu'il n'y ait à cela quelque autre motif raisonnable. Si c'est le cas, si l'abbé estime que la justice le requiert, il établira au contraire des distinctions entre les moines, quel que soit leur rang social. Sinon. que chacun garde sa place, car tous, le serf autant que l'homme libre, nous ne sommes qu'un dans le Christ, nous portons également notre fardeau sous les enseignes d'un chef unique, et, auprès de Dieu, il n'y a pas acception de personnes. Les seules préférences qu'il nous marque, sont en effet à la mesure des bonnes œuvres et de l'humilité qu'il trouve en nous. L'abbé aura donc pour tous une égale affection, une même ligne de conduite à l'égard de tous, en tenant compte du mérite de chacun.
Dans le gouvernement des âmes, l'abbé doit toujours se conformer à la norme établie par l'Apôtre : "Adresse tour à tour les remontrances. les exhortations, les reproches." En d'autres termes, variant les procédés selon la diversité des circonstances, qu'il mêle les caresses aux menaces, qu'il sache allier la sévérité du maître à la tendre indulgence d'un père : il réprimandera sans ménagements les esprits impatients du joug et mal affermis dans la régularité ; l'exhortation au progrès dans la vertu, il la réserve à ceux qui sont toute obéissance, modestie et patience quant à ceux qui versent dans le laisser-aller et le mépris du devoir, ils méritent reproches et châtiments. Telle est notre recommandation. Et qu'il ne ferme pas les yeux sur les fautes qu'ils commettront dès qu'elles commencent à poindre, il usera d'autorité pour les retrancher jusqu'à la racine, se souvenant du danger dans lequel tomba Héli, le prêtre de Silo. Alors qu'une ou deux admonitions verbales suffisent pour redresser les natures délicates et capables d'intelligence, ceux qui sont au contraire mauvais, durs de cœur, orgueilleux ou désobéissants, il faut leur infliger le châtiment des verges ou d'autres peines corporelles, et dès le principe du mal exercer la répression. On sait qu'il est écrit : "L'insensé ne se corrige pas avec des paroles ", et ailleurs : "Frappe de verges ton fils et tu l'empêcheras d'aller à sa perte."
L'abbé doit avoir toujours conscience de sa mission, se rappeler sans cesse le nom qu'on lui donne, ne jamais oublier qu'à celui auquel on a confié davantage, on redemande davantage. Qu'il sache combien difficile et ardue est la tâche qu'il a entreprise de conduire des âmes et de se plier des tempéraments fort divers. Pour gagner l'un par des caresses, l'autre par des réprimandes, un troisième par la persuasion, il lui faut proportionner et adapter son action au caractère et au degré d'intelligence de chacun. Tel est le moyen pour lui de ne subir aucun détriment dans le bercail placé sous sa garde, et même de se réjouir de l'accroissement et du parfait état de son troupeau.
Avant tout, qu'il ne se dissimule pas le prix des âmes à lui commises, et qu'il n'accorde pas moins de sollicitude à leur salut qu'à l'administration des biens transitoires, terrestres et caducs : ce sont des âmes qu'il s'est chargé de conduire, - qu'il y songe sans cesse, des âmes dont il aura à rendre compte. Et qu'il n'allègue pas la modicité des ressources : qu'il se répète plutôt la parole de l'Ecriture : "Cherchez d'abord le royaume de Dieu et sa justice, et tout le reste vous sera donné par surcroît", et encore : "Rien ne manque à ceux qui Le craignent."
Qu'il soit donc persuadé qu'en assumant la conduite des âmes, il s'engage à répondre d'elles. Une chose certaine, c'est que le nombre même des frères rangés sous sa tutelle, est celui des âmes dont il sera justiciable sans exception au jour du jugement, en plus, cela va de soi, de ce qui regarde sa vie personnelle. Ainsi, la crainte constante de l'examen qu'un pasteur doit subir au sujet des brebis à lui confiées, le rendra non moins attentif à ses propres comptes que soucieux de répondre pour ceux d'autrui ; et dans la mesure où ses instructions procurent l'amendement du prochain, elles le disposent, lui aussi, à la correction de ses défauts.
. De la manière de réunir les frères en conseil.
Chaque fois qu'au monastère se présente une affaire importante à traiter, l'abbé convoquera la communauté tout entière et lui exposera la question. Il recueillera l'avis des frères, le considérera mûrement à part lui et fera ensuite ce qu'il jugera plus à propos. La raison qui nous porte à demander que tous les frères soient appelés à délibérer, c'est que souvent Dieu inspire aux plus jeunes les meilleures suggestions. Toutefois, que les frères donnent leur avis en toute humilité et soumission, loin de se laisser emporter jusqu'à défendre leur opinion sans retenue : c'est du jugement de l'abbé que relève vraiment la décision, et tous doivent adopter le parti qu'il aura jugé le plus expédient. Mais s'il sied au disciple d'obéir au maître, encore convient-il que lui-même ordonne toutes choses avec prévoyance et équité.
Aussi bien la Règle servira-t-elle de norme universelle dont nul ne pourrait s'écarter sans témérité : tous s'y rangeront au contraire. Dans la vie monastique, il est inadmissible que l'on suive les mouvements de la volonté propre, qu'on s'enhardisse au point de contester insolemment avec l'abbé, ou même que l'on ébruite ces dissentiments au dehors. Celui qui aurait cette audace sera soumis à la discipline régulière. De son côté, l'abbé doit se conduire en tout selon la crainte de Dieu et le respect de la Règle : qu'il soit bien persuadé que de toutes ses résolutions il rendra compte au tribunal d'un Dieu souverainement équitable.
Pour les affaires courantes et de moindre intérêt, il lui suffira de recourir au conseil des anciens. Il est écrit : Ne fais rien sans prendre conseil, et tu n'auras pas à t'en repentir."