http://www.lemessieetsonprophete.com/annexes/sept.htm
A propos de Marie, l’étude du texte coranique réserve une autre surprise : le verset s.5,116 donne l’impression de placer Marie dans la Trinité que professent les chrétiens.
C’est en tout cas la lecture musulmane habituelle qui est faite de ce verset, et donc ce que tout Musulman doit croire au sujet de la foi des chrétiens – malgré le fait qu’une telle affirmation grotesque serait démentie par n’importe quel chrétien. Et c’est toujours ce qui est enseigné aux enfants musulmans sauf là où il existe un nombre suffisant de chrétiens qui risqueraient trop facilement de se gausser de cette absurdité (en Egypte par exemple[1]) ; on évite alors d’en parler. Ceci étant, que dit le texte ?
“Quand Dieu dira : ‘Îsa, fils de Marie, as-tu dit aux gens : Prenez-moi et ma mère pour deux divinités, à côté de [en dehors de] Dieu ?...” (début de s.5,116) ?
3.1.3.2 Un premier niveau d’explication réelle : ironie polémique et nécessité
Oublions un instant l’imagerie imposée qui fait de Muh1ammad l’auteur oral du Coran, et relisons le verset s.5,116 pour lui-même. Ce qui ressort immédiatement, c’est l’ironie mordante de ce verset où Dieu lui-même est présenté comme prenant ‘Îsa-Jésus à témoin contre... la foi chrétienne trinitaire – car il s’agit bien de la foi trinitaire même si le verset évoque “sa mère” là où l’on s’attendrait à lire "l’Esprit Saint" : on reviendra sur ce point. La formule :
“Prenez-moi et ma mère pour deux divinités, en dehors de Dieu” (s.5,116)
vise et condamne le fait de placer ‘Îsa-Jésus et “sa mère” au rang de "Dieu" alors qu’ils ne sont pas "Dieux" (ils sont "de hors de Dieu", min dûni Llahi[2]). L’ironie polémique est double :
— elle porte sur l’accusation d’associer à Dieu (le širk) qui est un crime impardonnable valant la damnation éternelle[3], ainsi que sur celle de lui associer… une épouse ;
— elle porte sur l’accusation de multiplier les "dieux", puisqu’il est question là de "deux divinités", et en s.5,73, il est même question de trois divinités… dont Dieu :
“En vérité, ils recouvrent [la vérité] ceux qui disent : Certes, Dieu est le troisième de trois[4]” (s.5,73).
Ici, il serait malvenu de tenir pour inspirés par le Démon des versets qui condamnent "l’associationisme" chrétien (et qui vouent le chrétien à l’enfer : “Dieu lui interdit le Paradis et son refuge sera le Feu”, cf. s.5,72 et note 998). Donc, puisqu’il est impensable que le Coran puisse se tromper, les chrétiens, nécessairement, “prennent Jésus et sa mère pour deux divinités à côté de Dieu”.
De plus, cette lecture de s.5,116 ne convient finalement pas si mal à l’apologétique intra-musulmane, à condition que les musulmans ne fréquentent pas des chrétiens et ne se rendent pas compte de l’absurdité de l’accusation ; et elle permet d’expliquer aux enfants à l’école pourquoi Dieu envoie les chrétiens en Enfer – ce qui est d’ailleurs indubitablement la pensée de l’auteur, divin ou non, du texte coranique.
Si la Trinité chrétienne ne se compose pas de Dieu, de Jésus et de Marie, où est l’erreur ?
La question adéquate est celle-ci : qu’est-ce que l’auteur entendait par son ironique verset s.5,116 ? Et d’abord, fait-il allusion à quelque chose ?
En fait, présenter l’Esprit Saint comme une Mère était une manière de parler habituelle des traditions araméennes héritées du judéochristianisme. Aphrahate (dit le Sage de Perse) écrit vers 340 que le chrétien qui se marie tend à oublier “son Père et l’Esprit Saint sa mère”[5]. C’est ce qu’on peut lire également dans l’Evangile selon les Hébreux dont Origène a rapporté le logion suivant :
“Le sauveur a dit : Il y a un instant, ma Mère qui est l’Esprit Saint, m’a enlevé par un de mes cheveux et m’a transporté sur la grande montagne du Thabor” (Sur l’év. de Jean, Hom. 2, 12)
et dont Jérôme également a retranscrit deux passages – le premier de ceux-ci est sans doute un parallèle du précédent –:
“Dans cet évangile écrit "selon les Hébreux", qui est lu par les Nazaréens, le Seigneur dit : Il y a un instant, ma mère, le Saint-Esprit, m’éleva”[6].
Et : “Selon l’évangile écrit en langue hébraïque que les Nazaréens lisent... nous trouvons ceci : Il arriva que, tandis que le Seigneur remontait de l’eau, toute la source du Saint-Esprit descendit et reposa sur lui et lui dit : Mon Fils, parmi tous les prophètes, je t’attendais pour que tu viennes et que je puisse reposer en toi. Car tu es mon repos, tu es mon fils premier-né qui règnes pour toujours”[7].
Cet Evangile selon les Hébreux appelé également Evangile des Nazaréeens constituait, nous le savons (cf. 1.6.1.1), le livre de référence – à coté de la Tôrah et des Prophètes – des groupes formant la mouvance messianiste et dont la désignation la plus adéquate est celle de judéonazaréens. Aucun exemplaire de cet évangile ne nous est parvenu et il n’est connu à ce jour qu’à travers les citations de quelques Pères de l’Eglise qui, malheureusement, n’y attachent pas beaucoup d’importance. Après avoir cité le même passage évoquant le Thabor dans un autre commentaire des Ecritures, Origène ajoutait simplement :
“C’est une preuve dans leur croyance que l’Esprit-Saint est la mère du Christ” (In Jer. 15,4).
En fait, c’est plutôt une manière de parler qu’une croyance : Origène aurait pu faire l’effort d’expliquer que le mot "esprit" est féminin en hébreu aussi bien qu’en araméen (xVr, rûah1)[8] ; or, vu que la tradition chrétienne (Luc 1,35) précise que Jésus a été engendré sous l’action de l’Esprit Saint, il était inévitable que le titre de "mère" fût attribué à l’Esprit Saint.
C’est cette manière de parler de la Trinité (toujours actuelle parmi les Chaldéens) que raille l’auteur du verset s.5,116, ce que les commentateurs musulmans anciens avaient bien compris[9]. La raillerie est habile : l’auteur ne fait pas nier par Jésus le fait que l’Esprit soit "sa mère", il lui fait nier que lui-même et l’Esprit soient un deuxième et un troisième co-dieu, ce dernier devant être simplement une émanation de Dieu. Bref, il fait dire à Jésus que les chrétiens sont des gens qui confondent et mélangent tout.
Il apparaît donc clairement que le verset s.5,116 qui s’adonne à l’ironie révèle un contexte religieux où la conception d’un Esprit Saint maternel (et au féminin) est habituelle.
http://www.dailymotion.com/video/x8r4pj_la-tres-sainte-vierge-marie-et-sata_news
La Très Sainte Vierge Marie et Satan
Yahweh Dieu dit au serpent: " Parce que tu as fait cela, tu es maudit entre tous les animaux domestiques et toutes les bêtes des champs; tu marcheras sur ton ventre, et tu mangeras la poussière tous les jours de ta vie.
15 Et je mettrai une inimitié entre toi et la femme, entre ta postérité et sa postérité; celle-ci te meurtrira à la tête, et tu la meurtriras au talon.
En effet, la Vierge Marie, qui, à l'annonce de l'Ange, accueillit dans son coeur et dans son corps .le Verbe de Dieu et apporta la vie au monde, est reconnue et honorée comme la vraie Mère de Dieu et du Rédempteur. Rachetée d'une manière très sublime en considération des mérites de son Fils et unie à lui par un lien étroit et indissoluble, elle est revêtue de la fonction et de la dignité suprême de Mère du Fils de Dieu. Aussi est-elle la fille préférée du Père et le temple de l'Esprit-Saint, par le don de cette grâce suprême, elle dépasse de loin toutes les autres créatures célestes et terrestres.
Cependant, elle est en même temps, de par sa descendance d'Adam unie à tous les hommes, qui ont besoin du salut; bien plus, elle est "vraiment Mère des membres (du Christ)... parce qu'elle a coopéré par sa charité à la naissance, dans l'Eglise, des fidèles, qui sont les membres de ce Chef" (3). Aussi est-elle encore saluée du nom de membre suréminent et tout à fait singulier de l'Eglise, de figure et de modèle admirable de l'Eglise dans la foi et dans la charité l'Eglise catholique, docile à l'Esprit-Saint, la vénère avec une piété et une affection filiale comme une mère très aimante.
LUMEN GENTIUM
Un des mythes du Christianisme est la trinité. Dieu le père, Dieu le fils et Dieu le saint esprit, ne sont pas troie Dieu mais bien un Dieu, à en croire les chrétiens. Sans aborder la supercherie de la trinité, nous voudrions éclaircir un point que les chrétiens ne semblent pas comprendre.
Les chrétiens affirment que le Coran inclut Marie (paix sur elle) dans la trinité, ce qui donnera : Dieu + Jésus + Marie. Ils donnent comme argument le verset suivant :
Tout dabord, précisons que le Coran condamne bien la trinité et la divinité de Jésus :
Le Coran condamne bien la trinité :
4-171. Ô gens du Livre (Chrétiens), n'exagérez pas dans votre religion, et ne dites de Dieu que la vérité. Le Messie Jésus, fils de Marie, n'est qu'un Messager de Dieu, Sa parole qu'Il envoya à Marie, et un souffle (de vie) venant de Lui. Croyez donc en Dieu et en Ses messagers. Et ne dites pas «Trois». Cessez ! Ce sera meilleur pour vous. Dieu n'est qu'un Dieu unique. Il est trop glorieux pour avoir un enfant. C'est à Lui qu'appartient tout ce qui est dans les cieux et sur la terre et Dieu suffit comme protecteur
5-73. Ce sont certes des mécréants, ceux qui disent : «En vérité, Dieu est le troisième de trois.» Alors qu'il n'y a de divinité qu'Une Divinité Unique ! Et s'ils ne cessent de le dire, certes, un châtiment douloureux touchera les mécréants d'entre eux.
Le Coran condamne le faite qu'on dise que Jésus qu'il est Dieu :
5-17. Certes sont mécréants ceux qui disent : «Dieu, c'est le Messie, fils de Marie ! »- Dis : «Qui donc détient quelque chose de Dieu (pour L'empêcher), s'Il voulait faire périr le Messie, fils de Marie, ainsi que sa mère et tous ceux qui sont sur la terre ? ... A Dieu seul appartient la royauté des cieux et de la terre et de ce qui se trouve entre les deux». Il crée ce qu'Il veut. Et Dieu est Omnipotent.
5-72. Ce sont, certes, des mécréants ceux qui disent : «En vérité, Dieu c'est le Messie, fils de Marie.»Alors que le Messie a dit : «Ô enfants d'Israël, adorez Dieu, mon Seigneur et votre Seigneur». Quiconque associe à Dieu (d'autres divinités) Dieu lui interdit le Paradis; et son refuge sera le Feu. Et pour les injustes, pas de secoureurs !
Maintenant, voici le verset qui dérange les chrétiens :
5-116. (Rappelle-leur) le moment où Dieu dira : «Ô Jésus, fils de Marie, est-ce toi qui as dit aux gens : «Prenez-moi, ainsi que ma mère, pour deux divinités en dehors de Dieu ?» Il dira : «Gloire et pureté à Toi ! Il ne m'appartient pas de déclarer ce que je n'ai pas le droit de dire ! Si je l'avais dit, Tu l'aurais su, certes. Tu sais ce qu'il y a en moi, et je ne sais pas ce qu'il y a en Toi. Tu es, en vérité, le grand connaisseur de tout ce qui est inconnu.
Ce qui dérange les chrétiens, c'est le fait que le Coran affirme que des gens prennent pour divinités Marie au lieu de Dieu.
Mais en quel cas, cela signifierait-il qu'elle doit être inclut dans la Trinité? Dieu n'a jamais dit que les chrétiens incluaient Marie dans leur Trinité, Il a jute dit que ces derniers la prenait comme divinité. Si on applique la logique des détracteurs chrétiens, alors il faut compter toutes personne prise pour divinités en dehors de Dieu, dans leurs trinités, comme par exemple les Rabbins et les moines :
9-31. Ils ont pris leurs rabbins et leurs moines, ainsi que le Christ fils de Marie, comme Seigneurs en dehors d'Allah, alors qu'on ne leur a commandé que d'adorer un Dieu unique. Pas de divinité à part Lui ! Gloire à Lui ! Il est au-dessus de ce qu'ils [Lui] associent.
Ainsi, la Trinité des chrétiens serait : Dieu, Jésus et les Rabbins/Moines.
Toute personne adorée, ou à qui nous demandons secours à part Dieu, est considéré être une divinité à la place de Dieu. Nous avons plusieurs exemples dans le Coran, de personne ayant pris d'autres divinités à la place de Dieu :
6-19. ...Est-ce vous vraiment qui attestez qu'il y ait avec Dieu d'autres divinités ? Dis : «Je n'atteste pas». Dis [aussi]:
«Il n'y a qu'une Divinité Unique. Et moi, je désavoue ce que vous (Lui) associez».
6-46. ...46. Dis : «Voyez-vous ? Si Dieu prenait votre ouïe et votre vue, et scellait vos coeurs, quelle divinité autre que Dieu vous les rendrait ? Regarde comment, à leur intention, Nous clarifions les preuves ! Pourtant ils s'en détournent.
6-74.(Rappelle le moment) où Abraham dit à Azar, son père : «Prends-tu des idoles comme divinités ? Je te vois, toi et ton peuple, dans un égarement évident ! »
6-136. Et ils assignent à Dieu une part de ce qu'Il a Lui-même créé, en fait de récoltes et de bestiaux, et ils disent : «Ceci est à Dieu - selon leur prétention ! - et ceci à nos divinités.» Mais ce qui est pour leurs divinités ne parvient pas à Dieu, tandis que ce qui est pour Dieu parvient à leurs divinités. Comme leur jugement est mauvais !
6-137. Et c'est ainsi que leurs divinités ont enjolivé à beaucoup d'associateurs le meurtre de leurs enfants, afin de les ruiner et de travestir à leurs yeux leur religion. Or si Dieu voulait, ils ne le feraient pas. Laisse-les donc, ainsi que ce qu'ils inventent.
18-52. Et le jour où Il dira : "Appelez ceux que vous prétendiez être Mes associés". Ils les invoqueront; mais eux ne leur répondront pas, Nous aurons placé entre eux une vallée de perdition.
Et on sait que les chrétiens catholiques prennent bien Marie pour divinité :
"Souvenez-vous, ô très miséricordieuse Vierge Marie, qu'on n'a jamais entendu dire qu'aucun de ceux qui ont eu recours à votre protection, imploré votre assistance et réclamé votre secours, ait été abandonné. Animé d'une pareille confiance, ô Vierge des vierges, ô ma Mère, j'accours vers vous, et gémissant sous le poids de mes péchés, je me prosterne à vos pieds.O Mère du Verbe Incarné, ne méprisez pas mes prières, mais écoutez-les favorablement et daignez les exaucer."
http://blog.france2.fr/holly-wins/index.php/2006/01/22/17618-souvenez-vous-o-tres-misericordieuse-vierge-marie
"Vierge très sainte et immaculée, ma Mère, ô Marie, à vous qui êtes la Mère de mon Seigneur, le refuge des pécheurs, j'ai recours à vous aujourd'hui, moi, le plus misérable de tous. Je vous vénère, ô grande Reine, et je vous remercie de toutes les grâces que vous m'avez faites jusqu'ici, spécialement de m'avoir délivré de l'enfer, que j'ai si souvent mérité. Je vous aime, ô ma Souveraine très aimable, et pour votre amour, je m'engage à vous servir toujours, et à faire tous mes efforts pour que vous soyez aussi aimée par les autres. Je place en vous toutes mes espérances, tout mon salut. Agréez moi pour votre serviteur, et recevez-moi sous votre protection, ô Mère des miséricordes. Et puisque vous êtes si puissante auprès de Dieu, délivrez-moi de toutes les tentations ou obtenez-moi la force de les vaincre jusqu'à la mort. O ma Mère, par l'amour que vous portez à Dieu, je vous prie de m'assister toujours, mais surtout au dernier moment de ma vie. Ne m'abandonnez point que vous ne me voyez en sûreté au ciel, occupé à vous bénir et à chanter vos miséricordes pendant toute l'éternité. Ainsi je l'espère."
http://missel.free.fr/Sanctoral/01/01.php
"Vierge sainte ! Au milieu de vos jours glorieux, n'oubliez pas les tristesse de la terre : Jetez un regard de bonté sur ceux qui sont dans la souffrance, qui luttent contre les difficultés et qui ne cessent de tremper leurs lèvres aux amertumes de la vie. Ayez pitié de ceux qui s'aimaient et qui ont été séparés. Ayez pitié de l'isolement du cœur, de la faiblesse de notre foi, des objets de notre tendresse. Ayez pitié de ceux qui pleurent, de ceux qui prient, de ceux qui souffrent. Donnez à tous l'espérance et la paix : Ainsi soit-il ! "
http://www.catholic.pf/quelques_prieres_a_marie.htm
Nos voyons bien que les catholiques prennent bien Marie pour divinités, en la priant et en pensant qu'elle nous exaucer ("le culte marial"). Marie est donc considérée comme une divinité, tout comme les arabes prenaient pour divinités des idoles. Si l'on applique la logique de ces chrétiens qui ne savent pas, alors on pourrait dire que le Coran inclut toutes les fausses divinités dans la Trinité.
Or, Dieu interdit à toute personne de prendre pour divinité (donc croire que quelqu'un peut nous aider en l'implorant ou adorer quelqu'un, d'autre que Dieu) :
5-72. ...Quiconque associe à Dieu (d'autres divinités) Dieu lui interdit le Paradis; et son refuge sera le Feu. Et pour les injustes, pas de secoureurs !
Car, il n'y a que Dieu qui peut nous aider, Lui seul dont nous devons adorer, et donc, il n'y a de divinités que Dieu :
1-5. C'est Toi [Seul] que nous adorons, et c'est Toi [Seul] dont nous implorons secours.
112-2. Dieu, Le Seul à être imploré pour ce que nous désirons.
6-102. Voilà Dieu, votre Seigneur ! Il n'y a de divinité que Lui, Créateur de tout. Adorez-Le donc. C'est Lui qui a chargé de tout.
De toute façon, il en fallait très peu pour répondre à ce sujet. Le verset dit : "...pour deux divinités en dehors de Dieu" .Ainsi, Jésus serai la première divinité et Marie serai la deuxième. Puis dans la suite du verset on nous dit que ces deux divinités sont prisent en dehors de Dieu. Or la Trinité chez les chrétiens comprend Dieu le père. Ce qui n'est pas le cas ici, car on nous dit bien "en dehors de Dieu". En appliquant la logique des chrétiens qui ne savent pas, on ne dirait pas que le Coran traite de la Trinitié, mais plutôt de la binité.
En somme :
Le Coran condamne bien la trinité.
Le Coran affirme que Marie est prise pour divinité au lieu de Dieu, tout comme le Coran affirme que plusieurs personnes, dont les arabes, prennent pour divinités des statuts.
Si le Coran affirme que Marie est inclue dans la trinité des chrétiens, alors toute autre divinités est aussi prise dans la trinité des chrétiens.