Voici les noms des fils d'Ismaël, selon les noms de leurs postérités : premier-né d'Ismaël, Nebayot, puis Qédar, Adbeel, Mibsam, Michma, Douma, Massa, Hadad, Téma, Yetour, Naphich et Quedma.
Esaïe 19 : 23-25
"En ce même temps, il y aura une route d'Egypte en Assyrie : Les assyriens iront en Egypte, et les Egyptiens en Assyrie, et les Egyptiens avec les Assyriens serviront Yahweh Dieu. En ce même temps, Israël sera le troisième, uni à l'Egypte et à l'Assyrie, et ces pays seront l'objet d'une bénédiction.
Yahweh des armées les bénira, en disant : Bénis soient l'Egypte, Mon peuple et l'Assyrie, Oeuvre de Mes Mains, et Israël, Mon héritage."
Genèse chapitre 25:1
Abraham prit encore une femme, nommée Qetoura. Elle lui enfanta Zimran, Yoqchan, Medan, Midian, Yichbaq et Chouah. Yoqchan engendra Cheba et Dedan; les fils de Dedan furent les Achourim, les Letouchim et les Leoumim. Les fils de Midian furent Epha,
Abraham donna tous ses biens à Isaac. Quant aux fils de ses concubines, il leur donna des présents, et il les envoya de son vivant loin de son fils Isaac, à l'est, au pays d'Orient.
Isaïe 60: 6
Des flots de chameaux te couvriront, les dromadaires de Midyan et d'Epha; tous ceux de Saba viendront, chargés d'or et d'encens, et publiant les louanges de Yahweh.
Tous les troupeaux de Qédar se rassembleront chez toi; les béliers de Nabayot seront à ton service; ils monteront, pleinement agréés, sur Mon Autel, et Je glorifierai la Maison de Ma Gloire.
Suite Isaïe 60
Oui, les îles mettent en Moi leur attente, et les vaisseaux de Tarchich, les premiers ramèneront tes fils de loi, offrant leur argent et leur or, au Nom de Yahweh, ton Dieu, et au Saint d'Israël, parce qu'Il t'a glorifié.
Les fils de l'étranger rebâtiront tes remparts, et leurs rois seront à ton service; car Je t'ai frappée dans Ma Colère, mais dans Ma Bienveillance, J'ai pitié de toi.
La gloire du Liban viendra chez toi, le cyprès, le platane et le mélèze pareillement, pour orner le lieu de Mon
Sanctuaire, et Je glorifierai le Lieu (où reposent) Mes Pieds.
Tarchich
Majdel Tarchich (arabe : مجدل ترشيش) ) est un village libanais situé dans le caza du Metn au Mont-Liban au Liban. La population est presque exclusivement chrétienne.
La prophétie de Jonas - Cours n°2 |
Le prophète, Ninive et Tarchich (35 mn) |
Claude Riveline, Chercheur en sciences de gestion |
LIEN Intéressant
http://www.akadem.org/sommaire/themes/limoud/5/10/module_8979.php
Midian
Certains historiens suggèrent que le culte de Yahvé origine en Israël peuples pré du Levant région, en particulier en Madian. [11] La Bible hébraïque mentionne que Moïse première rencontre avec Dieu comme un buisson ardent, en Madian. An Egyptian inscription also relates the Shasu , who are described as living south of Palestine, with the name YHW. [ 12 ] [ 13 ] Une inscription égyptienne concerne également l' Shasu , qui sont décrits comme vivant au sud de la Palestine, avec le nom YHW. [12] [13]
Liban
Le Liban, en forme longue la République libanaise[1], en arabe Lubnān, لبنان et Al Jumhuriya Al Lubnaniya, الجمهوريّة اللبنانيّة, est un État du Proche-Orient (Asie de l'Ouest), en grande partie montagneux[3]. Il partage ses frontières avec deux États, la Syrie au nord et à l'est, sur 376 km et Israël au sud sur 79 km. Il est bordé par la partie orientale de la mer Méditerranée : le bassin Levantin, à l'ouest, avec 220 km de côtes.
Beyrouth est sa capitale.
La langue officielle est l'arabe. L'emploi de la langue française est conditionné par l'article 11 de la Constitution du Liban du 9 septembre 1943 rédigé comme suit : L'arabe est la langue nationale officielle. Une loi déterminera les cas où il sera fait usage de la langue française[1]. La monnaie nationale est la livre libanaise.
Du fait de sa composition pluriconfessionnelle, le Liban est doté d'un système politique fondé sur une répartition du pouvoir plus ou moins proportionnelle au poids de chaque communauté religieuse, c'est le confessionnalisme[4].
Le drapeau du Liban est composé de trois bandes horizontales, deux rouges (en haut et en bas), représentant le sacrifice pour l'indépendance, et une blanche faisant le double d'une bande rouge représentant la neige qui couvre ses montagnes, la pureté et la paix. Le tout frappé en son centre par un cèdre vert, symbole par excellence du pays. L’emblème du pays, qui figure sur son drapeau, est le cèdre du Liban, (Cedrus libani Pinacées). Son bois, imputrescible et très léger, aurait servi entre autres à la construction du Temple de Salomon à Jérusalem. Les Phéniciens s'en servaient également pour la construction de leurs légendaires navires. Ce drapeau tel qu'il est date de 1943[1].
Son Histoire, son système politique et la variété de sa culture, de sa démographie religieuse et de sa géographie en font un pays à part et original de l'Orient arabe
Le pays était de ce fait considéré comme le coffre fort du Levant, et était connu comme « La Suisse du Moyen-Orient », du fait de son poids et de sa puissance financière.
Le Liban a attiré de nombreux touristes, en grande partie parce que Beyrouth, la capitale, était connue comme le « Paris du Moyen-Orient ».
Liban vient de la racine sémitique Lubnan signifiant blanc ou lait, en référence au manteau neigeux qui recouvre les montagnes libanaises en hiver, un paysage plus que singulier dans cette région aride et déficitaire en eau qu'est le Proche-Orient. Le nom du pays est mentionné dans trois des douze tablettes de l'Épopée de Gilgamesh (2900 av. J.-C.), dans des textes de la bibliothèque d'Ebla (2400 av. J.-C.), ainsi que 71 fois dans l'Ancien Testament[8],[9].
Sur son territoire, des communautés de confessions diverses ont coexisté dès les premiers siècles de l'ère chrétienne. Au Proche-Orient, le Liban présentait ainsi un visage original d'un État pluriconfessionnel, dont le développement fut longtemps assuré par un système bancaire parmi les plus performants au monde, ce qui lui valut le titre de Suisse du Proche-Orient après la seconde guerre mondiale
Histoire ancienne
Les premières traces de peuplement du Liban remontent à plus de 7000 ans, à 5000 av. J.-C. Les archéologues ont découvert à Byblos, qui est considérée comme étant « le plus vieux village du monde »[10], des restes de huttes préhistoriques, des armes primitives, ainsi que plusieurs jarres d'argile, qui semblent dater des époques Néolithique et Chalcolithique, durant lesquelles vivaient, sur les bordures de la Méditerranée, plusieurs communautés de pêcheurs[11].
Le Liban fut la mère patrie des Phéniciens, ce peuple marin aventureux, rameau du peuple Cananéen, qui a dominé pendant des siècles le commerce méditerranéen et fondé des comptoirs et des cités sur tout le pourtour de la Méditerranée dont Carthage, Palerme, Cadix, Tanger, etc
Un système politique original
Le Liban est une république parlementaire (à démocratie confessionnelle), régie par la constitution du 23 mai 1926, qui a été modifiée six fois depuis, la modification la plus importante étant les accords de Taef qui réorganisent le partage du pouvoir entre les différentes communautés religieuses.
La constitution énonce que le Président, obligatoirement chrétien maronite, est élu par le Parlement (Majlis Al Nuwab ou Chambre des députés) à la majorité des deux-tiers et pour six ans. Il n'est pas directement rééligible sauf modification de l'article 49 de la Constitution. Ses pouvoirs ont cependant été réduits au profit du Premier ministre depuis les accords de Taef. Ce dernier doit être musulman sunnite et est responsable devant les députés ainsi que le président de l'Assemblée nationale, qui lui doit être musulman chiite. L'Assemblée nationale comporte 128 sièges, répartis entre chrétiens et musulmans, qui sont élus au suffrage universel direct selon un système électoral complexe et « segmenté par la religion ». C'est le confessionalisme.
Il existe un ensemble de traits structurants communs pour les libanais : l’arabité linguistique, la phénicité, l’autonomie politique et la francophonie. L’entité libanaise trouve par ailleurs toute sa raison d’être à travers l’expérience du dialogue des religions, et peut offrir à l’heure de la mondialisation, un lieu privilégié de rencontre entre l’Occident et l’Orient, et de pluralisme culturel constituant un patrimoine commun. La quête millénaire de l’identité libanaise doit donc transcender des éléments disparates relevant d’un même ensemble cohérent pour assurer cette fonction d’être un espace de communication, d’autonomie, d’ouverture, de rayonnement, de solidarité et de «résistance culturelle».
Les Libanais de l'étranger ont, quelle que soit leur confession, davantage conscience des liens qui les unissent et de leur identité commune.
Byblos
Elle est mentionnée dans la Bible, se référant à la nationalité des bâtisseurs du Temple de Salomon (-970/-931). Elle se caractérise aujourd'hui par son antique port de pêche, son site romain et son château croisé, Byblos est une des plus vieilles villes du monde continuellement habitée. Ce fut également un lieu de rencontre éminemment à la mode pour la jet set du monde entier
Byblos aujourd’hui
L'ancienne cité est entourée de murailles d'époque médiévale comportant des fûts de colonnes antiques inclus dans les murs. Cette méthode de construction est également visible au « Château de la mer » de saint Louis à Sidon (Saïda).
L'intérieur de la cité abrite une église construite par les Génois, une petite mosquée, un souk d'artisanat local, le château croisé, le site antique et le port.
Le cèdre du Liban dans la culture
Le Cèdre du Liban est mentionné dans la Bible comme utilisé par Salomon pour construire la charpente du temple de Jérusalem. Il est également mentionné dans le Psaume 104[réf. incomplète]: « Et le cèdre du Liban que Tu plantas » et aussi dans Psaumes 92 verset 13 "Car les justes poussent comme le palmier, ils s'élèvent comme un cèdre du Liban".
Le cèdre, symbole du Liban, est considéré comme un arbre sacré car il est mentionné dans les trois grandes religions monothéistes.
Antoine de Saint-Exupéry (1900-1944), qui aimait beaucoup les cèdres et qui par ailleurs avait séjourné au Liban en 1935, écrivait dans Citadelle[réf. incomplète] : « La paix est un arbre long à grandir. Il nous faut, de même que le cèdre, aspirer encore beaucoup de rocaille pour lui fonder son unité ».
Pour les Libanais, le cèdre est un symbole d'espoir, de liberté et de mémoire. En 1920, un des textes de la proclamation du Grand Liban déclare[réf. incomplète] : « Un cèdre toujours vert, c'est un peuple toujours jeune en dépit d'un passé cruel. Quoique opprimé, jamais conquis, le cèdre est son signe de ralliement. Par l'union, il brisera toutes les attaques ».
Le Liban est honoré dans le Guinness 2008 grâce à un sculpteur libanais, Rudy Rahmé. Ce dernier donna une seconde vie à un cèdre, âgé de 3 000 ans, mort foudroyé en cachant sur ses troncs des visages, des corps, des animaux. Baptisée « Lamartine », cette sculpture mesure 32 mètres de haut. Elle est taillée dans le bois d'un cèdre mort se trouvant dans la forêt millénaire du nord du Liban (Bcharré). Soixante-dix figures humaines montrant la relation entre le temps et le lieu y sont sculptées. Parmi elles, celle du Christ crucifié sur sa croix.