Genèse chapitre 25:1
Abraham prit encore une femme, nommée Qetoura. Elle lui enfanta Zimran, Yoqchan, Medan, Midian, Yichbaq et Chouah. Yoqchan engendra Cheba et Dedan; les fils de Dedan furent les Achourim, les Letouchim et les Leoumim. Les fils de Midian furent Epha,
Abraham donna tous ses biens à Isaac. Quant aux fils de ses concubines, il leur donna des présents, et il les envoya de son vivant loin de son fils Isaac, à l'est, au pays d'Orient.
Isaïe 60: 6
Des flots de chameaux te couvriront, les dromadaires de Midyan et d'Epha; tous ceux de Saba viendront, chargés d'or et d'encens, et publiant les louanges de Yahweh.
Tous les troupeaux de Qédar se rassembleront chez toi; les béliers de Nabayot seront à ton service; ils monteront, pleinement agréés, sur Mon Autel, et Je glorifierai la Maison de Ma Gloire.
Adnan (arabe : عدنان) est traditionnellement l'ancêtre mythique des Arabes du nord (al-Adnani), qui occupaient le Nord de l'arabie, le Hejaz, al-Yamama, et qui entretenaient une rivalité avec les Arabes du sud, descendants de Qahtan. Il serait né en 122 avant l'ère chrétienne[1] et serait le fils de Add, descendant de Nebaioth (en)[2] fils d'Ismaïl[3] fils Abraham (Ibrahim). Selon la tradition musulmane, la lignée
remonterait à `Adnan via 21 générations. On trouve aussi un hadith où Mahomet aurait dit : « Ne faites pas remonter ma lignée au-delà de `Adnan[4]. ».
Quraych
Les Quraychites, Qorayshites, Quoriches ou Koraïchites sont les descendants de Quraych (qurayš قريش), le terme signfie littéralement en arabe « petit requin », un assez lointain ancêtre appelé aussi Fihr. Ils appartiennent au groupe des Arabes du Nord (ou Arabes arabisés) qui se disaient descendants d'Adnan et par lui d'Ismaël. Six générations après Quraysh, Qusay (quṣay ben kilāb قصي بن كلاب) parvient à les fédérer et à prendre à la tribu qahtani des Khuza'a - selon la tradition grâce à une alliance matrimoniale - le contrôle de La Mecque, de ses puits et du pèlerinage autour de la Kaaba.
Qusay est le père de ‘Abd Manaf, grand père de Hâchim, bisaïeul de `Abd al-Muttalib, trisaïeul de `‘Abdullah, ce dernier étant le père de Mahomet.
Un hadith dit que tous les califes doivent descendre des Quraychites:
- « Abd Allah ben `Umar, rapporte: Le Messager de Dieu disait: Le califat restera parmi les Quraych même s'il ne reste que deux personnes sur terre[1] ».
Qahtan (قحطان) (ou Yoktan) est traditionnellement l'ancêtre mythique des « Arabes du sud » (al Arab al Aribah) ou les arabes indigènes comme les Sabéens, qui entretenaient une rivalité avec les « Arabes du nord », descendants d'Adnan. Ils se revendiquaient être les descendants du prophète Houd et affirmaient être les représentants des arabes de « pure souche »[1].
Isaïe 60: 6
Des flots de chameaux te couvriront, les dromadaires de Midyan et d'Epha; tous ceux de Saba viendront, chargés d'or et d'encens, et publiant les louanges de Yahweh.
Tous les troupeaux de Qédar se rassembleront chez toi; les béliers de Nabayot seront à ton service; ils monteront, pleinement agréés, sur Mon Autel, et Je glorifierai la Maison de Ma Gloire.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Qahtan
Qahtan (قحطان) (ou Yoktan) est traditionnellement l'ancêtre mythique des « Arabes du sud » (al Arab al Aribah) ou les arabes indigènes comme les Sabéens, qui entretenaient une rivalité avec les « Arabes du nord », descendants d'Adnan. Ils se revendiquaient être les descendants du prophète Houd et affirmaient être les représentants des arabes de « pure souche »[1].
http://fr.wikisource.org/wiki/Le_Koran_(Traduction_de_Kazimirski)_11
CHAPITRE XI.
Donné à La Mecque. — 123 versets.
Au nom du Dieu clément et miséricordieux
Voilà une des histoires inconnues. Nous te révélons, ô Mohammed ! Cette histoire, que vous n’avez pas connue jusqu’ici, ni toi ni ton peuple. Prends patience ; la fin heureuse est pour ceux qui craignent Dieu.
Nous envoyâmes aux hommes d’Ad leur frère HOUD. Il leur dit : O mon peuple ! Adorez Dieu. Vous n’avez point d’autre dieu que lui. Vous inventez vous-mêmes les autres.
O mon peuple ! Je ne te demande aucun salaire ; mon salaire est à la charge de celui qui m’a créé. Ne le comprendrez-vous pas ?
O mon peuple ! Implorez le pardon de votre Seigneur, et puis revenez à lui, il vous enverra du ciel une pluie abondante[12].
Il fera accroître vos forces[13]. Ne vous en allez pas coupables (faites pénitence) !
O Houd ! Répondirent-ils, tu ne viens point accompagné d’un signe évident ; nous n’abandonnerons point nos divinités à ta parole seule ; nous ne te croyons pas.
Que dirons-nous, si ce n’est qu’un de nos dieux t’a frappé de quelque coup ? Il répondit : Je prends à témoin Dieu, et vous témoignez vous-mêmes que je suis innocent de ce que vous associez d’autres divinités
À Dieu. Mettez en œuvre vos machinations, et ne me faites point attendre ;
Car j’ai mis ma confiance en Dieu, qui est mon Seigneur et le votre. Il n’existe pas une seule créature qu’il ne tienne parle bout de la chevelure. Dieu est sur le sentier droit.
Si vous tournez le dos, je vous ai fait connaître ma mission. Dieu mettra un autre peuple à votre place, et vous ne pourrez lui (à Dieu) causer aucun mal. Mon Seigneur contient toute chose dans ses limites.
Notre volonté prête à s’accomplir, nous sauvâmes, par l’effet de notre miséricorde, Houd et ceux qui ont cru avec lui ; nous les avons sauvés d’un châtiment terrible.
Ce peuple d’Ad avait nié la vérité de son Seigneur ; il avait désobéi à ses envoyés et av ait suivi les ordres des hommes puissants et rebelles.
La malédiction les poursuit dans ce monde. Au jour de la résurrection, on leur criera : Ad n’a-t-il point été incrédule envers son Seigneur ?
Nous envoyâmes vers les Thémoudites leur frère Saleh, qui leur dit : O mon peuple ! Adorez Dieu. N’ayez point d’autres dieux que lui. Il vous a produits de la terre, et il vous l’a donnée pour l’habiter. Implorez son pardon : puis revenez à lui. Mon Seigneur est proche, il exauce ceux qui le prient.
Ils répondirent : O Saleh ! Tu étais l’objet de nos espérances[14]. Nous défendras-tu maintenant d’adorer ce que nos pères adoraient ? Nous avons de grands doutes sur le culte auquel tu nous appelles.
O mon peuple ! Répondit-il, songez-y. Lorsqu’une volonté manifeste de Dieu m’accompagne, lorsque sa miséricorde est descendue sur moi, qui m’assistera contre lui si je lui désobéis ? Vous ne sauriez accroitre que ma perte[15].
O mon peuple ! La chamelle que voici est la chamelle de Dieu, elle sera un signe pour vous ; laissez-la paître tranquillement sur la terre de Dieu, ne lui faites aucun mal ; un châtiment terrible le suivrait de près.
Ils tuèrent la chamelle. Saleh leur dit alors : Attendez trois jours dans vos maisons. C’est une promesse qui ne sera point démentie.
Et des que notre arrêt fut prononcé, nous sauvâmes, par l’effet de notre miséricorde, Saleh et ceux qui avaient cru avec lui, de l’opprobre de ce jour-là. Ton Seigneur est le Fort, le Puissant.
Une tempête violente surprit les méchants ; le lendemain ils furent trouves gisants morts la face contre terre, dans leurs habitations,
Comme s’ils n’y avaient jamais habité. Thémoud a été incrédule envers son Seigneur. Loin d’ici, Thémoud !
Suite !!