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Père Elias :
"Pour la première fois dans l'histoire, Jésus et Marie parlent arabe…C'est très important par les temps qui courent, et c'est très symbolique… Damas, St Paul, et 2000 ans après, Soufanieh, d'une telle ampleur : des gens qui viennent du monde entier, maintenant. La Syrie, si méprisée comme tout ce qui est arabe ; Damas si méconnu… Et le Seigneur a choisi Damas !".
[...]
Père Zahlaoui :
"La dernière apparition a eu lieu le 24 mars 1983. - La Vierge apparaît au cours des extases, la dernière était le 28 novembre 2001. On s'attend à quelque chose à la fête de Pâques 2004, date commune aux Orthodoxes et aux Catholiques". [effectivement ! ....Voir messages ci-dessous. En 2009, la fête de Pâques sera commune entre catholiques, orthodoxes, protestants et juifs]
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Question du Père Abbé Dom Gérard : "Est-ce que le Seigneur a laissé entendre que sa Venue était proche ?"
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Père Zahlaoui :
"Il y a un message qui nous intrigue : c'était le 28 novembre 85 (cf. Livret p. 22)."Moi, j'ai été sacrifié par amour pour vous. Et je veux que vous portiez et supportiez votre croix pour moi, volontairement, avec amour et patience, et que vous attendiez ma venue. Car celui qui participe avec moi à la souffrance, je le ferai participer à la gloire. Et il n'est de salut que par la Croix… Et si mon absence se prolonge, et que la lumière s'éclipse pour toi, ne crains pas, ce sera pour ma glorification. Va à la terre où la corruption s'est généralisée, et sois dans la paix de Dieu".
Comment interpréter :
"et que vous attendiez ma venue" ? Je ne sais pas".
Père Abbé Dom Gérard :
"Mais il me semble que c'est toute l'espérance chrétienne, l'attente de la Parousie, la Venue du Christ dans la gloire ! "
Père Zahlaoui :
"C'est l'espérance chrétienne, mais y a-t-il quelque événement que le Seigneur veut nous signaler par ces paroles ? Je ne sais pas, mais… on se laisse mener par lui !".
Commentaire ultérieur du Père Abbé Dom Gérard :
Une parole prophétique peut se réaliser à divers niveaux ; il est possible que celle-ci vise à la fois la Parousie et un nouveau régime d'apparitions pour Myrna, par exemple. En tout cas, la promesse qui suit est claire : Celui qui participe à ma souffrance, je le ferai participer à la gloire… Si mon absence se prolonge - pour Myrna privée d'apparitions, mais aussi pour toute l'Eglise comme abandonnée à la foi pure - ne crains pas, ce sera pour ma glorification - à la Fin, pour toi comme pour toute l'Eglise, ma gloire éclatera.
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Question du Père Abbé Dom Gérard :
"Comment Myrna comprend-elle le signe de l'huile ?"
Myrna :
"Au début, je n'ai pas compris ce que signifiait ce signe de l'huile. Beaucoup demandaient : pourquoi de l'huile et pas de l'eau, par exemple ? Après une vingtaine d'années, j'ai fini par comprendre que l'huile est symbole de plusieurs choses. Dans l'Ancien testament, on parle beaucoup de l'huile. Pour nous, dans le Nouveau Testament, c'est le symbole du baptême, symbole de lumière, symbole de paix, symbole de vie. Moi, je dis qu'à Soufanieh, l'huile, c'est pour la guérison de l'Eglise ; car l'Eglise aujourd'hui est malade, blessée ; pour que cette blessure guérisse, il faut une onction d'huile de la part du Seigneur, pour que ses enfants se retrouvent les uns les autres dans l'unité, et c'est ainsi que se construit la richesse de l'Eglise dans l'union de ses enfants. Si le Seigneur intervient, c'est pour nous provoquer à nous réunir autour de lui, pour sauver, entre autre, la jeunesse qui s'effiloche complètement"
Le jeudi 25 novembre, auprès de sa mère malade. Les personnes présentes font une onction avec l'huile, et les deux malades guérissent.
Le 27 novembre 1982, Myrna remarque à son domicile qu’une petite image de papier de la Vierge à l’Enfant (Notre-Dame de Kazan), achetée par son mari lors d’un séjour en Bulgarie et placée dans un cadre en plastique, brille anormalement. Elle voit un liquide couler, semblable à de l’huile d’olive. Son époux fait le même constat. Décontenancé, Nicolas part prévenir des amis en demandant à son épouse de n’ouvrir à personne. Myrna reçoit alors en locution : «Ma fille, Marie [Myrna], ne crains pas, je suis avec toi. Ouvrez les portes, ne privez personne de ma vue»
Le 15 décembre 1982, vers vingt trois heures, la Vierge apparaît à Myrna pour la première fois. Mais elle ne peut rien dire car la jeune femme épouvantée s'enfuit. Trois jours plus tard, le 18 décembre, la Vierge lui apparaît de nouveau et lui adresse son premier message.
Plus tard, Myrna a été favorisée d'apparitions de Jésus Christ et de la Vierge Marie, et de visions de Lumière céleste ;
elle a reçu plusieurs fois les stigmates de la Passion.
Les messages du Christ et de sa Mère, à la fois sobres et denses, concernent principalement l'unité de l'Eglise d'Orient et d'Occident, avec une insistance particulière sur le Mystère pascal qui doit être célébré partout à la même date.
Depuis le commencement, une foule de gens, chrétiens et musulmans, viennent prier et recevoir l'onction d'huile à Soufanieh. La famille Nazzour n'accepte pas d'argent. Tout le monde est accueilli dans la maison familiale avec une simplicité et une générosité totales.
Les Autorités religieuses, tant catholiques que orthodoxes, regardent les faits avec une attention bienveillante ; quant au Mufti de Syrie, il a dit simplement : "De Notre-Dame Marie, rien ne peut nous étonner ! C'est la Femme pure par excellence parmi toutes les femmes, celle qui a été choisie par Dieu pour recevoir son Verbe - selon les mots du Coran - rien ne nous étonne de sa part ! Et n'importe qui a le droit d'aller prier, demander son intercession…".
A partir d'octobre 1983,
l'huile a commencé à suinter de centaines d'images de l'icône de Soufanieh,
aussi bien à Damas qu'un peu partout ailleurs, suscitant de nombreux groupes de prière. Depuis, Myrna a effectué plusieurs voyages d'évangélisation au Proche-Orient, en Europe et en Amérique ; son témoignage est souvent renforcé par le signe de l'huile qui apparaît dans ses mains, et que toutes les personnes présentes peuvent voir, toucher, respirer, et s'appliquer sur le visage.
A l'époque où Kazan était la capitale de l'empire mongol, Notre-Dame est apparue à une fillette de huit ans et lui parla d'une image sacrée qui avait été cachée sous l'autorité mongole et musulmane de Kazan. Les gens ne crurent la petite fille qu'après deux apparitions supplémentaires de Notre-Dame.
Puis, à l'étonnement de tous, on trouva l'icône en parfait état sous les ruines d'un édifice entièrement brûlé.
Cette image sacrée dégageait une importante sensation de "présence" qui inspirait la crainte chez la plupart de ceux qui l'ont vue.
Il y eut des miracles, par exemple deux hommes aveugles de naissance qui recouvrèrent la vue.
L'icône fut emportée dans une église de Kazan, dont le pasteur était saint Ermagen, plus tard patriarche de Moscou.
L'un des plus grands saints de Russie lui apparut : saint Sergei qui lui confia que
cette image sacrée de Notre-Dame de Kazan
serait le point de ralliement des fidèles et qu'elle serait l'instrument qui servirait à sauver et à établir la nation russe.
Notre Dame de Kazan et l'âme de la nation russe
On peut dire qu'au moment où l'image sacrée de Notre-Dame apparut sous les ruines de l'édifice entièrement brûlé de Kazan, "l'âme de la Russie parut aussi".
La nation russe était née bien qu'elle n'eût le premier tsar que cinquante ans plus tard.
En 1613, l'icône de Kazan fut transportée à Moscou et enchâssée dans la basilique située en face du Kremlin connu sous le nom de "Place Rouge". Quand Pierre le Grand fit construire une nouvelle capitale dans le Nord, il décida de faire bâtir pour l'icône de Kazan une magnifique église de même style que la basilique Saint-Pierre à Rome.
Le transfert de l'icône de Moscou à la nouvelle capitale, Petrograd, suscita une réaction à l'échelle nationale.
Alors le tsar en fit faire une belle copie et laissa l'icône dans son église originale sur la Place Rouge.
Quand Notre Dame de Kazan revient chez Elle...
En 1950, année sainte durant laquelle l'Assomption de Notre-Dame fut proclamée dogme de foi,
John Haffert de l'Armée Bleue eut l'idée de construire un centre mondial à Fatima avec deux chapelles,
l'une de style latin et l'autre de style byzantin
pour symboliser l'Est et l'Ouest, l'unité et la paix promises par Notre-Dame.
Entre temps, Pavel Bliznetsov, ancien officier des forces aériennes soviétiques, s'évade avec son avion. Il se rend à Rome et devient prêtre. Le cardinal Tisserant le propose comme aumônier du centre byzantin de l'Armée Bleue à Fatima. Ce vrai Russe voit grand. Il rejette le projet mentionné plus haut et fait faire le plan d'une église digne de Notre-Dame. Pour trouver les fonds nécessaires, il parcourt l'Allemagne et fait appel aux immigrés russes sans beaucoup de succès. Alors John Haffert et son équipe interviennent.
Ils ont recours à Notre-Dame et à saint Joseph et ce n'est pas en vain...
L'église byzantine est aujourd'hui une réalité.
C'est là que l'icône de Notre-Dame de Kazan a été vénérée
jusqu'à ce grand jour historique du 28 août 2004, où elle fut rendue au peuple russe
selon la volonté du pape Jean-Paul II, le jour même de la fête de l'Assomption de la Vierge Marie, selon le calendrier liturgique julien des chrétiens d'orient.
Après un périple dans le pays, elle fut replacée dans la cathédrale de l'Annonciation à Kazan, le 21 juillet 2005.
Suite !!