http://fr.wikipedia.org/wiki/Croix_de_Saint-Damien
La croix de Saint-Damien est l'œuvre d'un artiste inconnu, qui peignit l'icône du crucifix dans la région d'Assise (Italie) au XIIe siècle.
Selon Thomas de Celano (Vita Secunda), c'est cette croix qui aurait parlé à François d'Assise (2 C 10) et qui lui aurait dit : « Va et répare ma maison qui, tu le vois, tombe en ruine ! »
En 1257, quand les Clarisses quittent San Damiano pour San Giorgio, elles emportent avec elles le crucifix, qu'elles gardent soigneusement pendant 700 ans. Durant la Semaine sainte de 1957, il est exposé pour la première fois au-dessus du nouvel autel dans la chapelle de San Giorgio, dans la basilique Sainte-Claire d'Assise.
Style
Le dessin témoigne d'une forte influence syrienne. Or la présence de moines syriens est attestée à cette époque, dans la région d'Assise : tout laisse à penser que l'un d'entre eux est l'auteur de cette croix. Malgré tout la peinture byzantine est en vigueur en Europe et particulièrement en Italie à cette époque, et on retrouve ses principes picturaux dans cette œuvre : fond doré, pose irréelle, taille démesurée du personnage principal par rapport aux autres présents dans la scène, absence de perspective.
Il obéit aux conventions stylistiques du Christus triumphans (dit du « Christ vivant »).
La croix est peinte sur une plaque de noyer, sur laquelle est collé du tissu. Il fait environ 190 cm de hauteur, 120 cm de largeur et 12 cm d'épaisseur. Il est probable qu'elle a été destinée à être accrochée au-dessus de l'autel de la chapelle San Damiano, à Assise.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Repr%C3%A9sentation_du_Christ_en_croix
http://www.sacred-destinations.com/italy/assisi-san-damiano
L'Église et le couvent de San Damiano est où tout a commencé en assise. Comme le lieu où St. Francis a d'abord reçu son appel miraculeuse en 1205 et où St. Clare mourut en 1253, c'est un arrêt important pour le pèlerinage à la ville Sainte franciscaine. L'oratoire simple est situé dans un magnifique définissant simplement hors des murs d'assise.
L'origine hébergé un petit prieuré bénédictin, documenté depuis 1030. En 1205, dans son oratoire vieux délabré, un Francesco jeune et agité priait avant un crucifix peint du XIIe siècle. Soudain, le Christ sur le crucifix revinrent à la vie et a parlé à Francis, disant: « Rebuild mon Église. »
Francis prend la commande littéralement tout d'abord, reconstruire l'église peu de ses propres mains. L'Église est devenue ultérieurement une retraite favorite pour Francis et ses disciples, et c'est là qu'il a écrit la première version de son célèbre Cantique des créatures.
St. Clare, disciple et ami proche de François, a fondé son ordre des Clarisses ici à San Damiano en 1212. Elle a vécu ici la plupart de sa vie comme son abbesse et est décédé dans une salle étage le 11 août 1253. Son corps a été transféré quelques années plus tard à la basilique di Santa Chiara, construit en son honneur.
Situé dans la belle campagne Ombrie juste à l'extérieur d'assise, San Damiano est un lieu de le simple et Pacifique - un changement agréable des mémoriaux grands et encombrés à St. Francis en ville.
San Damiano n'a pas l'importance artistique de la célèbre Basilique de San Francesco, mais qui fait partie de son charme et ce qui maintient il si calme et paisible ici. Et il n'a pas certaines œuvres remarquables.
Seule nef l'église est faiblement éclairé et recouverts d'un coffre-fort de canon pointu. Elle porte des fresques XIVe siècle dépeignant St. Agnes ; Saint-François prière avant le crucifix (endommagé). Saint-François levée vers son argent de devant le prêtre ; et le père de Saint-François, mettant en danger lui avec un bâton. Le crucifix peint est une copie de l'icône miraculeuse qui a parlé à St. Francis. l'original est suspendu dans la Basilique de St. Clare.
Le choeur, même plus faible et plus foncés que la nef, a des stands en bois datant du début du XVIe siècle. Son abside est orné d'une fresque du XIIIe siècle de vierge et son enfant entre STS Rufin et Damianus. Retouchées beaucoup au fil des ans, la fresque montre des similitudes avec la Maesta del Cimabue dans l'église inférieure de la Basilique de Saint-François.
À l'étage, la Chapelle de San Girolamo contient quelques fresques brillamment colorés par Tiberio d'assise (un élève de Pérugin) datant de 1517-22. L'abside dépeint vierge et son enfant entre Saint-François et de St. Clare, entouré par les quatre évangélistes avec leurs symboles. Le mur de côté montre St. Clare avec ses sœurs.
Les bâtiments du monastère sont habituellement ouverts aux visiteurs. L'attractive du XVe siècle cloître a des fresques de San Francesco recevant les stigmates et L'Annonciation, signé par Eusebio da San Giorgio en 1507.
L' ancien dortoir est une grande salle vide avec une vue sur les cloîtres ; l'endroit dans lequel est mort Clare est amoureusement marquée. Le choeur peu des Clarisses contient des stands de choeur en bois depuis l'époque de St. Clare (XIIIe siècle) et une fresque de la crucifixion par Pier Antonio Mezzastris (1482). Le réfectoire conserve ses vieilles tables et bancs, ainsi que des fresques par Dono Doni.
http://eucharistiemisericor.free.fr/index.php?page=1706072_san_damiano
ROME, le 17 juin 2007 - (E.S.M.) - Le pape Benoît XVI a rejoint en voiture le Sanctuaire de San Damiano où il s'est recueilli avant de se rendre à la Chapelle des Moniales Clarisses pour adorer le très saint Sacrement et vénérer le Crucifié de San Damiano. |
Le pape Benoît XVI se recueillant devant le Crucifié
Après la brève visite sur le lieu où St. François vécut avec les premiers moines pendant environ deux ans, le Saint Père Benoît XVI a rejoint en voiture le Sanctuaire de San Damiano. Le long du parcours, le cortège est passé devant l'église de Sainte Maria Maddalena, souvenir du service de Saint François aux lépreux.
A 9h00, sur la place du Sanctuaire de San Damiano le Pape Benoît XVI a été accueilli par le Ministre Général des Moines Mineurs, P. José Rodríguez Carballo, avec les neuf Définiteurs Généraux ; le Ministre Provincial, le P. Massimo Reschiglian et le Gardien, le P. Massimo Lelli.
Après une brève visite au célèbre Sanctuaire où S. François entendit les paroles du Crucifié qui l'invitait à réparer la maison en ruine, le Saint Père a été transféré en voiture à la Basilique de Sainte Claire.
Visite du pape Benoît XVI à la basilique Sainte Claire
Le Saint Père Benoît XVI est arrivé à 9h30 à la Basilique de Sainte Claire, accueilli par le Recteur P. Vittorio Viola, et s'est rendu dans la Chapelle des Moniales Clarisses pour adorer le très saint Sacrement et vénérer le Crucifié de San Damiano. |
Le pape Benoît XVI en visite dans la basilique Sainte Claire
Sainte Claire d'Assise
Cofondatrice de l'ordre des Pauvres Dames, ou Clarisses, et première abbesse de San Damiano, Claire est née à Assise le 16 juillet 1194 et y est décédée le 11 août 1253.
Enfant, elle était assidue à la prière et aux mortifications et, tandis qu'elle entrait dans l'adolescence, son aversion pour le monde et son désir ardent d'une vie plus spirituelle ne faisaient que croître. Elle avait dix-huit ans lorsque saint François vint prêcher le Carême dans l'église de San Giorgio à Assise. Les paroles inspirées du Poverello allumèrent une flamme dans le cœur de Claire ; elle vint le trouver en secret et le supplia de l'aider afin qu'elle aussi puisse vivre « selon le saint Évangile ». Saint François, qui reconnut sur-le-champ en Claire l'une de ces âmes choisies destinées par Dieu à de grandes choses, et qui, aussi, prévoyait sans doute que beaucoup suivraient son exemple, promit de l'aider. Le dimanche des Rameaux, Claire, parée de ses plus beaux atours, assistait à la grand-messe dans la cathédrale, mais alors que les autres se pressaient à la grille de l'autel pour recevoir une palme, elle restait à sa place comme absorbée dans un rêve. Tous les yeux étaient dirigés vers la jeune fille alors que l'évêque descendit du sanctuaire et plaça la palme dans sa main. Ce fut la dernière fois que le monde vit Claire. La nuit suivante, sur le conseil de saint François, elle quitta en secret la maison de son père et, accompagnée par sa tante Bianca et une autre compagne, elle se rendit à l'humble chapelle de la Porziuncula, où saint François et ses disciples l'accueillirent avec des bougies dans leurs mains. Claire se dépouilla alors de sa riche robe et saint François, après avoir coupé ses cheveux, la revêtit d'une grossière tunique et d'un voile épais, et ainsi la jeune héroïne se voua-t-elle au service de Jésus-Christ. C'était le 20 mars 1212
http://apotres.amour.free.fr/page7/sandamiano.htm
SAN DAMIANO (ITALIE)
1964-1981
LA MERE DE LA CONSOLATION ET DES AFFLIGES
NOTRE DAME DES ROSES
Quelques phrases des messages de la Vierge Marie :
Je viens pour préparer vos coeurs par un grand amour, par une grande charité, par un grand élan... Préparons tous les coeurs à ma Venue et à celle de mon Fils Jésus. (17.11.1967)
Le monde entier doit savoir que mon Règne et celui de mon Fils arriveront bientôt, et que je suis déjà sur la terre. (13.11.1967)
Je viendrai avec une grande lumière et je triompherai sur le monde entier. Et mon Fils Jésus viendra avec un Nouveau Royaume et portera la paix et l'amour, la tranquillité et la joie dans les coeurs. (13.5.1967)
HISTORIQUE (paru dans Etoile Notre-Dame n°69 - Mars 1999)
Rosa Buzzini était d'une famille de sept enfants dont trois moururent en bas-âge. Quatre filles devinrent adultes : Pierina, Anna, Rosa et Giuseppina.
L'année même de la naissance de Rosa, (née le 26 Janvier 1909), Frederico, son père, fut amputé d'une jambe. II mourut deux ans plus tard d'une pneumonie.
La veuve de Frederico, à son retour du cimetière, s'est rendue à l'église avec ses quatre petites filles. Devant le Saint-Sacrement, elle a dit: "Jésus, maintenant c'est Toi qui va remplacer mon époux et père. Je te consacre mes filles, afin qu'elles soient toutes tes épouses. "
Elle a appelé le prêtre, les a fait bénir: "Que soit faite ta volonté, Jésus, non la mienne. Je te donne mes filles et moi-même pour toujours. "
La mère de Rosa continua à habiter avec ses quatre filles auprès de son beau-père. Elle suivit celui-ci lorsqu'il prit en fermage une grande propriété agricole à Guzzano.
Rosa ne fréquenta l'école que durant trois hivers. L'instruction qu'elle reçut fut donc rudimentaire. Si elle manquait de formation intellectuelle, Rosa n'en avait pas moins l'esprit vif et une bonne mémoire. Elle ne voyait les choses du monde qu'à travers les vérités de la foi qu'elle comprenait d'instinct.
Comme ses soeurs, elle a appris toute jeune à prier. "Maman, disait-elle, nous faisait réciter le rosaire tous les jours. Nous avions toujours notre chapelet avec nous. Nous récitions des prières - là où nous nous trouvions - durant la journée, notamment le chapelet des anges ou les sept plaies de Jésus. »
Les trois soeurs de Rosa entrèrent au couvent : Pierina, religieuse du Sacré-Coeur au Brésil. Anna, était franciscaine au Sri Lanka. La cadette, Giuseppina, au Carmel de San Colombano di Lucca.
Rosa, elle, choisit une autre voie, celle du mariage. En effet, si Rosa aimait profondément le Bon Dieu, elle aimait aussi beaucoup les enfants... Et le 7 Octobre 1937, âgée de 28 ans, elle épousa un jeune ouvrier de la briqueterie de Ponte dell'Olio, Giuseppe Quattrini.
Giuseppe et Rosa eurent trois enfants Giacomina en 1938, Paolo en 1943 et PierGiorgio en 1952. Chaque naissance nécessita une césarienne. Lors de la troisième grossesse, le médecin conseilla fortement un avortement thérapeutique. Rosa refusa catégoriquement, affirmant : "Cet enfant, c'est Dieu qui me l'a donné !" Ce troisième accouchement eut lieu dans des conditions particulièrement difficiles et la santé de Rosa s'aggrava progressivement. Dès lors, Rosa fit des aller et retour de son domicile à l'hôpital et de l'hôpital à son domicile. Le 24 Septembre 1961, elle est rentrée de l'hôpital pour mourir chez elle lorsque, le 29 septembre, en la fête de saint Michel archange, une mystérieuse dame lui rendit visite...
Peu avant midi, le 29 Septembre, une jeune femme inconnue vint donc frapper à la porte. Tante Adèle qui vivait avec la famille, alla ouvrir. La femme, très belle, portait le costume des paysannes de la région. Elle avait sur la tête un foulard bleu ciel. La visiteuse venait quêter cinq cents lires pour les oeuvres de Padre Pio. Tante Adèle lui rétorqua que entre eux tous ils ne possédaient que mille lires, lesquelles avaient d'ailleurs été empruntées. La visiteuse se tourna vers Rosa qui était alitée au fond de la pièce
-As-tu foi en Padre Pio ? lui demanda-t-elle
- Oui, répondit Rosa, j'ai grande confiance en lui. Je le prie déjà depuis un certain temps, mais je ne suis pas encore guérie.
- Si tu as confiance en Padre Pio, il te fera guérir.
A ce moment-là, midi a sonné et la dame lui dit
- Récitons l'Angélus !
Puis s'approchant de Rosa, elle ajouta:
-Allons, lève-toi !
- Je ne peux pas me lever, j'ai de trop fortes douleurs.
- Donne-moi la main! Lève-toi
- Je ne peux pas.
- Donne-moi encore l'autre main!
Alors Rosa se leva et ensemble elles récitèrent l'Angélus. Après l'Angélus, la dame ajouta:
- Maintenant, disons cinq Pater, Ave et Gloria aux intentions de Padre Pio, en l'honneur des cinq plaies de Notre-Seigneur.
Pendant ce temps, la dame toucha les plaies de Rosa qui se fermèrent instantanément.
- Tu te rendras maintenant chez Padre Pio.
- Je n'ai ni argent, ni vêtements, objecta Rosa.
- Tu auras ce qu'il faut.
Descendant de la chambre à l'étage, tante Adèle a alors donné les 500 lires à la dame. Elle les a prises, l'a beaucoup remerciée et lui a dit avant de sortir:
- Ta nièce a grande confiance en Padre Pio, mais toi pas assez.
Tante Adèle, voyant Rosa près de l'évier et qui commençait à laver la vaisselle s'exclama:
- Mais qu'est-ce que tu fais ici, Rosa ? C'est moi qui lave la vaisselle, pas toi !
Rosa lui sauta alors au cou et lui dit en l'embrassant: «Mais, tante, je suis guérie».
- C'est la Madone qui est venue en personne, j'aurais du m'en douter, conclue avec des regrets Tante Adèle.
Quelques mois plus tard, en mai 1962, Rosa se rendit avec un pèlerinage diocésain placé sous la conduite spirituelle de son curé, Don Edgardo Pellacani, à San Giovanni Rotondo.
Le matin, tandis qu'elle récitait le chapelet sur le parvis de l'église à San Giovanni, elle s'entendit soudain appeler: "Rosa, Rosa !" Elle se retourna et vit avec surprise la Dame...
- Tu me reconnais ?
- Oui, répond Rosa, vous êtes la Dame qui m'avez apporté la guérison.
- Je suis la Mère de Consolation, la Mère des affligés. Dis-le donc à San Damiano, et au professeur qui n'a pas voulu croire à ta guérison. Après la messe, nous nous trouverons près de la sainte table et je t'accompagnerai chez Padre Pio.
Le 16 Octobre 1964, un vendredi, alors que sonnait midi au clocher du village, Rosa récitait l'Angélus, elle entendit une voix l'appeler du dehors: "Rosa viens, viens ici, je t'attends!".
La voix était douce et si belle et, arrivée au milieu de la cour, elle vit une nuée blanche descendre du ciel, elle était éclatante de lumière et parsemée d'étoiles d'or et d'argent. Elle contenait aussi un nombre incalculable de pétales de roses de toutes les couleurs qui s'évanouissaient en touchant le sol du jardin.
Un instant après, est sorti de la nuée un grand globe rouge qui s'est placé sur le poirier. Alors la nuée disparut et la Madonne parut entourée d'une vive lumière.
La Madone était vêtue d'un grand manteau blanc très léger qui, flottant au vent, semblait recouvrir le monde entier. Elle avait une robe bleue avec une ceinture blanche d'où à gauche pendait un chapelet avec des grains resplendissants se terminant par un crucifix tout fulgurant ou Jésus crucifié paraissait vivant. Elle avait autour du cou un chapelet rond plein d'étoiles étincelantes. De ses mains, sortaient de grands rayons lumineux qui me frappaient le visage et tout mon être... Notre Dame des Roses, rappelant son rôle de Mère, s'installait dans ce petit Jardin et donnait son premier Message:
"Ma petite fille, je viens de très loin. Annonce au monde que tous doivent prier, car Jésus ne peut plus porter sa Croix. Je veux que vous soyez tous sauvés, tous, bons et mauvais. Je suis la Mère de l'Amour, la Mère de tous, et vous, vous êtes tous mes enfants. Je veux que vous soyez tous sauvés. Aussi suis-je venue avertir le monde qu'il faut prier, car les châtiments sont proches. Je reviendrai chaque vendredi, je te donnerai des messages, et tu devras les annoncer au monde!"...
D'autres phrases encore:
Je viendrai avec une grande lumière en forme de colombe pour éclairer le monde entier. Tous la verront, tous s'embraseront d'amour pour Moi et tous auront la lumière du Ciel pour réveiller vos coeurs de ténèbres... Mais ceux qui n'auront pas la foi, qu'en sera-t-il d'eux ?(4 4 70)
Une étoile viendra dans le Ciel. Avec cette étoile, je viendrai au milieu de vous, et je donnerai la Lumière au monde entier! Ceux qui auront la foi trouveront dans leur coeur tant de joies et de consolations, et tant d'âmes se convertiront! Elles se sauveront et auront le salut et la paix .... Cette étoile, quand je viendrai, sera grande comme cet "Enclos" et voyagera sur le monde entier... Elle portera la Lumière partout et j'enverrai ses rayons dans le coeur des prêtres et dans toutes les âmes.(7 4 67)
La conversion de Robert Hossein
Si Robert Hossein multiplie aujourd’hui les spectacles à thème religieux, c’est parce qu’il a soudainement découvert la foi, à San Damiano, un petit hameau de Lombardie où la Vierge serait apparue pour la première fois le 16 octobre 1964.
La "voyante" était une paysanne de cinquante quatre ans, surnommée "Mamma Rosa", décédée en 1984. La Vierge, affirmait-elle, lui avait enjoint de faire de son jardin un lieu de prière et d’inviter le plus grand nombre de gens à venir y prier. Et chaque mois des trains et cars français partent de Paris pour y passer 3 jours.
Robert Hossein n’a pas fait partie de ces "voyages organisés". Mais de passage en Italie, dans la région de Plaisance, il s’est décidé à se rendre à San Damiano. Il garde depuis sur lui en permanence, dans son portefeuille, la photo prise au village en 1971, par un amateur. Le cliché qui montre une déformation étrange du soleil qui paraît surmonter ce que les fidèles de San Damiano n’hésitent pas à désigner comme une apparition de la Vierge, avait été expertisé à l’époque par des techniciens de Leiz France, et certifié par eux sans trucage.
Depusi Robert Hossein s’est fait "rebaptiser" et il assure vivre intensément sa foi.
D’après un article d’Emmanuel Peze Repris dans le Recueil marial 1985 du Frère Albert Pfleger, mariste
Des pèlerinages sont organisés, pour la plupart, le premier samedi du mois, au départ de plusieurs endroits de France.