Yahweh ! YHWH Elohim

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Cette forme d'écriture est apparu en raison de que il se serait prétendu éviter que les villages ne juifs connussent le nom et ils l'usassent mauvais. Pourtant, dans les mêmes écrits bibliques il s'apprécie le désir de Dieu que ferait que ‘son nom fût déclaré en tout le terroir’ (Éx 9:16; comparez-vous avec 1Cr 16:23, 24; Sl 113:3; Mal 1:11, 14), pour que même ses adversaires ils le connussent. (Isa 64:2.)

Pourtant, cette théorie qui se base sur une supposée diminution de l'usage du nom dans la dernière part des Écritures Hebreas, n'a pas tellement solidité à la lumière des faits. Par exemple: Esdras 1:2 il nous montre que Cyrus, un roi païen a usé le Tetragrámaton dans une lettre officielle, ce que montre qu'il n'était pas inconnu, dans la période postexílico par les ne juifs. Si il bien est vrai que dans le livre d'Ester n'apparaît pas le Tetragrámaton, dans le chapitre 1:20, il y a ce que quelqu'uns ont appelé "un acróstico investi du tetragrama". Malaquías, Un des derniers livres des Écritures Hebreas —écrit dans la dernière moitié du siècle V à. Et.C.—, Il donne grande importance au Nom divin.

Beaucoup d'oeuvres de consultation disent que le nom a laissé de se employer autour de l'an 300 à. Et.C. Il se cite comme preuve la supposée absence du Tetragrámaton (ou une transliteración de celui-ci) en la Septuaginta, traduction grecque des Écritures Hebreas que s'a entamé autour de 280 à. Et.C. Il est vrai que les manuscrits les plus complets de la Septuaginta que se connaissent dans l'actualité ils substituent systématiquement le Tetragrámaton par les mots grecs Ký·ri·vous (Monsieur) ou The·ós (Dis-vous), mais ces manuscrits importants seulement se remontent jusqu'aux siècles IV et V Et.C. Il fait ils se sont peu découvert des fragments de manuscrits plus anciens qu'essaient que dans les copies les plus anciennes de la Septuaginta apparaissait le Nom divin.

Les écritures du Nouveau Testament montrent que Jesus a utilisé et il a prononcé le Tetagramatón (San Juan 17:6,26), un exemple de cela il est lorsqu'il est entré en la sinagoga de Nazareth et leyo du livre d'Isaias (San Lucas 4:16-19) Pourtant, avec le temps, le lecteur juif il a commencé à utiliser les termes ’Adho·nái (Monsieur) ou ’Elo·hím (Dis-vous) en remplacement du Nom divin représenté par le Tetragrámaton, et ainsi évitait le prononcer lorsqu'il lisait les Écritures Hebreas dans le langage original. Il A ainsi dû arriver, donc lorsqu'ils ont commencé à se user les points vocálicos dans la deuxième moitié de l'I millénaire Et.C., Les copistas juifs ont inséré en le Tetragrámaton les points vocálicos de ’Adho·nái ou de ’Elo·hím, sûrement pour avertir au lecteur de que prononçât ces mots au lieu du nom divin. Bien sûr, dans les copies posterior de la Septuaginta grecque des Écritures Hebreas, le Tetragrámaton se trouvait complètement remplacé par Ký·ri·vous et The·ós.

Les traductions à autres idiomes, comme la Vulgata latine, ont suivi l'exemple des copies posterior de la Septuaginta. Par cette raison, la version Scío San Miguel, basée sur la Vulgata, ne contient pas le Nom divin, bien que il oui le mentionne dans ses notes. Autrui autant arrive avec la version Torres Amat (hormis dans quelques peu d'occasions qu'oui apparaît), alors que La Bible des les Amériques il emploie MONSIEUR ou DIEU pour représenter le Tetragrámaton dans les Écritures Hebreas chaque fois qu'apparaît, le même se peut dire de La Nouvelle Version Internationale.

 

Dans le texte biblique apparaît aussi la forme abrégée Yah (en anglais Jah), surtout dans le Livre des Salmos. Celle-ci fait partie de la connue expression hebrea aleluya, que signifie ‘louez à Yah!’. Également la forme abrégée du Nom Divin apparaît comprise dans la signification de beaucoup de noms hebreos. Cette forme Yah s'utilise maintenant principalement entre les rastafaris de le Jamaïque.

À l'écrire le Nom de Dieu les juifs ils le faisaient j'ai pris: YHWH, quatre consonantes, sans vocaux. Le Plus curieux il est que, par respect au Nom de Dieu et à que quelques rabinos ont commencé à enseigner que prononcer le Nom de Dieu portait une punition éternelle, la prononciation d'YHWH est tombé en desuso. À l'arriver à ce mot, s'inclinait la tête, il se faisait une pause et il poursuivait la lecture.

 Selon le Catecismo de l'Église (209), les chrétiens proclament la divinité de Jésus-Christ en lui donnant le titre d'Adonay (Adonai), ‘Monsieur’. Aujourd'hui les juifs d'origine espagnole, lorsqu'arrivent à YHVH, par le générale le substituent par y a-Shem qu'en hebreo veut dire ‘le Nom’, alors que les juifs originaires du Cet européen disent sans plus Adonai, ‘Monsieur’ (lit.: ‘Mon Monsieur (en pluriel mayestático)’).

Les juifs actuels, suivis par la église catholique romana, les églises chrétiennes ortodoxes, siríacas et cópticas, et quelques ministères protestants, s'inclinent par les formes Yahweh, ou bien, Yahveh

L'hypothèse la plus connue sur l'origine du mot Jéhovah, indique qu'il serait au calcar erróneamente la grafía allemande en que la j représente le même fonema (la consonante aproximante palatal, [j]) que le i espagnole, le même qu'arrive avec le nom Jesús (en hebreo Yeshua ou Yahushouà), Jeremías (en hebreo Yavet) et autrui, qu'usons fréquemment sans des problèmes malgré le changement de Et à J. L'élection d'une forme écrite ou autrui se doit par le général à des motifs historiques. En espagnol, les éditions catholiques du texte biblique qu'ils n'usent pas sustitutivos comme «Monsieur» ou «Dieu», optent par Yahveh. En revanche les éditions protestantes qui montrent le tetragrámaton emploient Jéhovah. 

 

Le Nom de Dieu Jéhovah, dans une Église Catholique Romana en St. Martinskirche at Olten, la Suisse (1521).
Le Nom Jéhovah Sur le Frontis d'une Église en Norvège

Ainsi, par des siècles la forme Jéhovah (Jehovah) a été une forme de prononcer le nom de Dieu que raconte avec reconnaissance internationale. Comme a dit le professeur Oehler: “Ce nom est maintenant arrivé à être plus naturalizado dans notre vocabulaire, et ne peut être remplacé”. (Theologie Donnes Alten Testaments [Théologie de l'Ancient Testament]). 

 

 

 

  • Basilique catholique en Fourvière, Lyon (la France), tetragrámaton dans le décor.
  • Cathédrale de Bourges (la France), tetragrámaton dans le décor.
  • Église en La Celle Dunoise (la France), tetragrámaton dans le décor.
  • Église en Digne, dans le sud de la France, tetragrámaton dans le décor.
  • Église en Sãou Paulo (le Brésil), tetragrámaton dans le décor.
  • Cathédrale de Strasbourg (la France), tetragrámaton dans le décor.
  • Cathédrale de San Cadres, Venise (l'Italie), tetragrámaton dans le décor.
  • Usage de Jéhovah en la Bible

    Le professeur français Gérard Gertoux —qui se présente comme spécialiste en le tetragrámaton, et qu'a en plus été président de la Association Biblique de Recherche d'Anciens Manuscrits (Association Biblique de Recherche de Manuscrits Anciens)— envisage que la prononciation la plus proche serait [Et.eh.oW.ah] Et que la forme Yahweh seulement serait une façon teológica et ne linguistique de transliterar le nom usée à l'encontre de la véritable prononciation.[5]

     le professeur Gérard Gertoux indique que le terme jahu (Yahu) signifie ‘Yah même’, et ja (Yah) est une abreviatura du nom,

     Nous voyions quelques exemples bibliques de noms de personne que comprennent une abreviación du nom divin. Jonatán, Qu'en la Bible hebrea est Yoh·na·thán ou Yehoh·na·thán, signifie “Yaho ou Yahowah a donné”, il indique Buchanan. Ainsi, il envisage que le nom hebreo du prophète Elías, ´Et·li·yáh ou ´Et·li·yá·hu, veut dire: “Mon Dieu est Yahoo ou Yahoo-wah”. Également, le nom hebreo Jehosafat (Josafat), Yehoh-scha·fát, signifie “Yaho a jugé”.

     consonantes YHWH (יהוה). Avec tout, les noms de quelques personnages bibliques —dont la prononciation correcte ne s'a jamais perdu— ils constituent une clef indéniable sur la prononciation du nom divin dans l'ancienneté.

     

    Hypothèse documentaire

    D'accord à l'appelée hypothèse documentaire, que défend la théorie de que le texte biblique se compose de diverse sources indépendantes compiladas et rangées par les écrives israéliens vers l'époque du roi Josías, l'usage du nom Yahveh est caractéristique d'une des sources originales, à dont hypothétique auteur ou auteurs, se dénomme «Tradition yavista»

    Entre les textes dont la responsabilité il s'attribue à la Tradition yavista se comprennent la deuxième version de la création, en Modèle:Biblia, la première part du Exode, la réception des Dix Commandements, ainsi que beaucoup d'autres parts du Génesis, le Exode et Nombres.

    ils probablement soient les sources les plus anciennes conservées dans le texte biblique, bien que se connaissent des attestations indépendantes de quelques de ses sources, entre elles le poème de la bénédiction de Jacob (utilisé en Modèle:Biblia et le poème du chanter de la mer, employé en Modèle:Biblia.

    Les fragments bibliques de la Tradition yavista sont sans doute les plus éloquents du texte, et le critique littéraire Harold Bloom a envisagé à son auteur le plus capable et influyente écrivain de la littérature universelle. Dans le texte masorético —en lequel se basent les versions actuelles de la Bible hebrea— le tetragrámaton apparaît 6.823 fois, plus que n'importe quelle autre forme alternative; les différences avec le texte de la Septuaginta —basé sur autres manuscrits— sont petits.

     

    Texte hebreo

    Aujourd'hui dans sa majeure part le nom divin s'est conservé dans sa forme originale dans les anciens manuscrits hebreos, par exemple le Códice de Leningrad (texte conservé en Russie), utilisé pour la Bible Hebraica Stuttgartensia (ou «BHS»), le Tetragrámaton apparaît 6.828 fois et il est marqué avec des points équivalents à vocaux de sorte que lise Yehwáh, Yehwíh et diverse fois Yehowáh, comme en Modèle:Biblia. Dans l'édition du texte hebreo par Ginsburg les points vocálicos insérés font qu'YHWH se lise Yehowáh.

    Comme s'est déjà dit en des occasions antérieures tout au long de cet article, les juifs ont commencé à substituer le nom divin par les titres Monsieur et Dieu (Adonay et Elohim respectivement), d'abord dans la prononciation et après même dans l'écriture y a des preuves qu'ils démontrent que les soferim (écrives) juifs ont changé le texte hebreo original d'YHWH à Adonay en 134 lieux.

    Selon la même oeuvre dans ses pages 368 et 369 les Soferim ont changé le tetragrámaton par le remplaçant Elohim en 8 lieux plus.

    Malgré exister, cette pratique n'a pas été généralisée, entre les écrives hebreos et grâce à cela, encore savons que le Tetragrámaton existe. Par ailleurs les masoretas --nom pour lequel s'est arrivé à connaître aux copistas siècles après Christ-- s'ont rendus compte des altérations qu'avaient fait les soferim et les ont enregistrés dans le marge ou à la fin du texte hebreo. Ces notes marginales sont arrivé à se connaître comme la masora et ont servi en beaucoup de cas pour restituer le nom à son lieu original.

     

    Textes grecs et autres idiomes

    La plus ancienne traduction du texte hebreo de la Bible au grec, connue comme la Septuaginta ou version des Soixante-dix, aussi nous peut donner information sur le nom divin. Aujourd'hui la plupart des copies les plus complètes de la Septuaginta datent des siècles III et IV après Christ environ. En celles-ci le nom divin il est substitué systématiquement par les titres Monsieur (Kyrios) et Dieu (Theós).

    Le Même se peut dire de la Peshita siríaca qu'utilise le terme Mer·déjà (Monsieur).

    La version Vulgata (en latin) use Dominus ['dominus].

    Pourtant découvertes posterior ont révélé des fragments plus anciens de la Septuaginta, qu'ont conservé le tetragrámaton en des caractères hebreos dedans du texte grec.

     

    Nom Divin en la Septuaginta

    Comme s'a commenté antérieurement les textes les plus complets de la Septuaginta que se trouvent disponibles aujourd'hui substituent le tetragrámaton par les termes Kyrios=Monsieur ou Theós=Dieu.

    Mais ils se sont aussi trouvé quelques fragments qu'ils maintiennent le nom. À suite nous signalerons quelqu'uns,[8] d'après apparaissent dans l'Appendice 1C de la Traduction du Nouveau Monde des Saintes Écritures (avec des références)

    • Papiros Fuad. 266[9] (Par son nombre de recensement) Ce papiro, trouvé en Égypte, a été daté du premier siècle avant de Christ. Il verse le nom divin par le Tetragrámaton écrit en des caractères hebreos cadrés dans les suivants lieux: Dt 18:5, 5, 7, 15, 16; 19:8, 14; 20:4, 13, 18; 21:1, 8; 23:5; 24:4, 9; 25:15, 16; 26:2,7, 8, 14; 27:2, 3, 7, 10, 15; 28:1, 1, 7, 8, 9, 13, 61, 62, 64, 65; 29:4, 10, 20, 29; 30:9, 20; 31:3, 26,27, 29; 32:3, 6, 19. Donc, dans cette collection le Tetragrámaton apparaît 49 fois en des lieux identifiés de Deuteronomio. En plus, dans cette collection le Tetragrámaton apparaît trois fois en des fragments n'identifiés, à savoir, dans les fragments 116, 117 et 123.

    Au commenter sur ce papiro, Paul Kahle a écrit en Studia Evangelica, édité par Kurt Aland, F. L. Cross, Jean Daniélou, Harald Riesenfeld et W. C. Ils vont Unnik Modèle:Cite

     

    Fragments trouvés en Nahal Hever

    • LXXVTS 10À Ce rouleau de peau, trouvé dans le désert de Judea, dans une grotte de Nahal Hever, a été daté de fins du premier siècle. Les fragments de ce rouleau s'ont publiés en Supplements to Vetus Testamentum, vol. X, Leyde, 1963, pp. 170-178. Il verse le nom divin par le Tetragrámaton écrit en des caractères hebreos anciens dans les suivants lieux: Jonás 4:2; Miq 1:1, 3; 4:4, 5, 7; 5:4, 4; Hab 2:14,16, 20; 3:9; Sof 1:3, 14; 2:10; Zac 1:3, 3, 4; 3:5, 6, 7.
    • LXXIEJ 12 Celle-ci tire pergamino, trouvée dans le désert de Judea, dans une grotte de Nahal Hever, a été datée de fins du premier siècle Et.C. Il se lui a donné publication en Israël Exploration Journal, vol. 12, 1962, p. 203. Il verse le nom divin par le Tetragrámaton écrit en des caractères hebreos anciens en Jon 3:3.
    • LXXVTS 10b Ce rouleau de pergamino, trouvé dans le désert de Judea, dans une grotte de Nahal Hever, a été daté d'intervenus du premier siècle Et.C. Il a été publié en Supplements to Vetus Testamentum, vol. X, 1963, p. 178. Il verse le nom divin par le Tetragrámaton écrit en des caractères hebreos anciens dans les suivants lieux: Zac 8:20; 9:1, 1, 4.
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    • AqBurkitt Ces fragments du texte grec de la version d'Aquila ont été publiés par F. Crawford Burkitt Dans son oeuvre Fragments of the Books of Kings According to the Translation of Aquila, Cambridge, 1898,pp. 3-8. Ces fragments de palimpsesto des livres des Reyes s'ont trouvés en le guenizá (dépôt de livres desechados et objets sacrés) de la sinagoga de Le Caire, l'Égypte. Ils ont été datés de fins du siècle V ou principes du siècle VI Et.C. Il verse le nom divin par le Tetragrámaton écrit en des caractères hebreos anciens dans les suivants lieux: 1Ré 20:13, 13, 14; 2Ré 23:12, 16, 21, 23, 25, 26, 27.
    • AqTaylor Ces fragments du texte grec de la version d'Aquila ont été publiés par C. Taylor dans son oeuvre Hebrew-Greek Cairo Genizah Palimpsests, Cambridge, 1900, pp. 54-65. Ces fragments ont été datés d'après intervenus du siècle V, et à plus tarder de principes du siècle VI. Il verse le nom divin par le Tetragrámaton écrit en des caractères hebreos anciens dans les suivants lieux: Sl 91:2, 9;92:1, 4, 5, 8, 9; 96:7, 7, 8, 9, 10, 13; 97:1, 5, 9, 10, 12; 102:15, 16, 19, 21; 103:1, 2, 6, 8.
    • SymP.Vindob. G. 39777 Ce fragment d'un rouleau de pergamino que contient part du Sl 69 dans la version de Símaco (Sl 68 en LXX), conservé en la Österreichische Nationalbibliothek (Bibliothèque Nationale de l'Autriche), Vienne, a été daté du siècle III ou IV Et.C. Il a été publié par le Dr. Carl Wessely en Studien zur Palaeographie und Papyruskunde, vol. XI,Leipzig, 1911, p. 171. Il verse le nom divin par le Tetragrámaton écrit en des caractères hebreos arcaicos dans les suivants lieux: Sl 69:13, 30, 31.
    • Ambrosiano Ou 39 sup. Ce códice, daté de fins du siècle IX Et.C., Il a cinq colonnes. La première colonne contient une transliteración du texte hebreo au grec, la deuxième colonne a la version grecque d'Aquila, la troisième colonne a la version grecque de Símaco, la quatrième colonne contient la LXX (Septuaginta) et la cinquième colonne contient la version grecque de Cinquième. Une édition facsimilar de ce palimpsesto, joins avec une transcription du texte, a été publiée à Rome en 1958 par Giovanni Mercati sous le titre Psalterii Hexapli reliquiae [...] Pars Prime. Codex rescriptus Bybliothecae Ambrosianae Ou 39 sup. phototypice expressus et transcriptus. Il verse le nom divin par le Tetragrámaton écrit en des caractères hebreos cadrés dans les cinq colonnes dans les suivants lieux: Sl 18:30, 31, 41, 46; 28:6, 7, 8; 29:1, 1, 2, 2,3, 3; 30:1, 2, 4, 7, 8, 10, 10, 12; 31:1, 5, 6, 9, 21, 23, 23, 24; 32:10, 11; 35:1, 22, 24, 27; 36; Enc, 5;46:7, 8, 11; 89:49 (dans les colonnes 1, 2 et 4), 51, 52.
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