SOUFFRANCE DE MES EPOUSES !! MARIE: MON ÂME FUT TRANSPERCéE D'UN GLAIVE 1922! 1610 STATUE : CROSSE ET SCEPTRE MAIN DROITE MARIE

 

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Images du Sacré Coeur de Jésus

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Notre Dame des douleurs

La vie de tous les chrétiens se déroule dans le cadre des fêtes liturgiques.
Il est donc normal de chercher à rejoindre Sr Josefa à la date des fêtes : Jésus ou Marie s’y réfèrent.
Que nous enseignent-ils à cette occasion ?

Ainsi, à la date du 15 septembre 1922, au jour de la fête de ses Douleurs, Marie vient redire à Josefa combien le Cœur de Jésus est un Cœur blessé par le manque d’amour. Marie a compris le Cœur de Dieu dans cette douleur… Elle l’a consolé… Elle veut nous entraîner à aimer comme elle.

Jésus n’a cessé de demander à Josefa-comme il l’a demandé à sa Mère-de participer à sa mission de rédempteur. Josefa accepte, elle souffre et offre… ces jours-ci pour un prêtre…

Voici ce passage :

Jésus vient lui dire :
« Courage, quelques efforts encore et cette âme reviendra à Moi ! »
Il ajoute :
« Beaucoup d’âmes me reçoivent bien lorsque je les visite par la consolation. Beaucoup m’accueillent avec joie quand je les visite dans la communion. Mais il y en a peu qui m’ouvrent volontiers quand je frappe à leur porte avec ma croix.
Quand une âme est étendue sur ma croix, s’y abandonne, cette âme me glorifie… cette âme me console… elle est la plus proche de Moi !
C’est à cause de la souffrance de mes épouses que ce prêtre ne tombe pas en un plus grand péril…. »

Cet amour du Cœur blessé de Jésus, Marie vient le redire à Josefa le vendredi 15 septembre 1922.

Et Josefa écrit :
« Marie est vêtue d’une tunique d’un violet très pâle, ses mains jointes sur sa poitrine et si belle !
« Je lui demandai de consoler elle-même Notre Seigneur car, bien que mon unique désir soit de l’aimer, je ne sais pas le faire et j’ai besoin de son Cœur à elle, pour aimer et réparer
 »

La Vierge répond tristement :
« Ma fille, ce prêtre déchire le Cœur de mon Fils… Cependant, il sera sauvé mais non sans beaucoup de souffrances.

Ce n’est pas en vain que Jésus en charge ses épouses…

Heureuses les âmes sur qui Il fixe ses yeux pour leur confier cette mission ! »

Oui, Marie, la Mère de toutes les douleurs a, elle aussi, droit à notre compassion et à notre reconnaissance.

 

Prions

 

Tu es là près de la Croix, Mère de miséricorde,
et le glaive est là qui ouvre en ton âme un abîme de douleur.
Sois bénie entre toutes les femmes pour l’offrande du fruit de ton cœur de douleur.
O Marie, ma Mère, je m’unis à ton angoisse face à ceux qui méconnaissent,
refusent et rejettent Celui qui se donne.
Mère de douleur, je te supplie pour que l’Amour soit aimé !

 

 

Notre Dame de la Salette
Notre Dame de la Salette

Quand Jésus mourait au Calvaire, rejeté par toute la terre,

 

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Debout la Vierge sa Mère, souffrait auprès de Lui.

Mercredi 15 août 1923 ouvre, pour Sr Josefa, une radieuse parenthèse au milieu de ses luttes quotidiennes.

Au soir de cette glorieuse journée, Marie apparaît à son enfant dans toute sa beauté. Elle écoute maternellement tout ce qu’elle lui confie de ses difficultés du présent, de ses appréhensions pour l’avenir, et surtout de sa fragilité et de sa misère.

« Ma fille, ta faiblesse ne doit pas te décourager, confesse-la humblement, mais ne perds pas confiance, puisque tu sais, à n’en jamais douter, que c’est à cause de ta misère et de ton indignité que Jésus a fixé ses yeux sur toi.... Beaucoup d’humilité, mais beaucoup de confiance ! »

Alors, détournant sa pensée d’elle-même, Josefa ne songe plus qu’à la joie de sa Mère Immaculée dont le monde entier célèbre aujourd’hui l’entrée dans le ciel.
Marie semble tressaillir à ce souvenir qui est pour elle la béatitude de l’éternel présent. Elle lui dit :

« Oui, c’est vraiment en ce jour que la joie pleine et sans mélange a commencé pour moi, car durant toute ma vie, mon âme fut transpercée d’un glaive. »

Je Lui ai demandé- écrit naïvement Josefa- si la présence de l’Enfant-Jésus, si petit et si beau, n’avait pas été cependant une grande consolation pour elle.

Marie lui répond :

  • « Écoute ma fille, dès l’enfance, j’eus connaissance des choses divines et des espérances placées en la venue du Messie.
  • Aussi, lorsque l’Ange m’annonça le Mystère de l’Incarnation et que je me vis choisie pour Mère du Sauveur des hommes, mon Cœur, bien que dans une grande soumission à la Volonté de Dieu, fut submergé dans un torrent d’amertume. Car je savais tout ce que ce tendre et divin Enfant devait souffrir, et la prophétie du vieillard Siméon ne fit que confirmer mes angoisses maternelles.
    Tu peux, dès lors, te figurer quels devaient être mes sentiments en contemplant les charmes de mon Fils, son visage, ses mains, ses pieds, tout son être que je savais devoir être si cruellement maltraités. Je baisais ses mains, et il me semblait que mes lèvres s’imprégnaient déjà du Sang qui jaillirait un jour de leurs blessures. Je baisais ses pieds, et je les contemplais déjà cloués à la croix. Je soignais sa ravissante chevelure, et je la voyais couverte de sang, enlacée dans les épines de sa couronne.
    Et quand, à Nazareth, il fit ses premiers pas et courut à ma rencontre ses petits bras ouverts, je ne pus retenir mes larmes à la pensée de ses bras étendus sur la croix où il devait mourir !
    Quand il atteignit l’adolescence, il y avait en lui un tel ensemble de beauté que nul ne pouvait le contempler sans admiration.... Seul, mon cœur de Mère se serrait à la pensée des tourments dont j’éprouvais d’avance la répercussion...
    Après l’éloignement des trois années de sa vie apostolique, les heures de sa Passion et de sa Mort furent pour moi le plus terrible des martyres.
    Lorsqu’au troisième jour, je le vis ressuscité et glorieux, sans doute l’épreuve changea d’aspect puisqu’il ne pouvait plus souffrir. Mais combien douloureuse allait être la séparation !
    • Le consoler, réparer les offenses des hommes serait alors mon seul soulagement. Cependant, quel long exil !...Quelles ardeurs montaient de mon âme ! ...Comme je soupirais après l’heure de l’union éternelle ! ... Ah ! Quelle vie sans Lui ! ... Quelle lumière enténébrée !... Quelle union désirée !... et comme Il tardait à venir ! ...
  •  
    • Ce fut au moment d’entrer dans mes soixante-treize ans, que mon âme passa comme un éclair de la terre au ciel.
    • À la fin du troisième jour, les anges vinrent chercher mon corps et le transportèrent en triomphe de jubilation pour le réunir à mon âme... Quelle admiration, quelle adoration et quelle douceur quand mes yeux virent, pour la première fois, dans sa Gloire et dans sa Majesté, au milieu des armées angéliques, mon Fils !... mon Dieu !...
      Et que dire, ma fille, de l’étonnement dont je fus saisie à la vue de mon extrême bassesse couronnée de tant de dons et environnée de tant d’acclamations ! ... Plus de tristesse !... Plus de mélange !... Tout est douceur, tout est gloire, tout est Amour !... »

La Très Sainte Vierge s’est exprimée avec enthousiasme, dira plus tard Josefa, et cependant un reflet d’humilité enveloppe chacun de ses mots.

Marie se tait un instant, plongée dans le souvenir magnifique de son entrée au ciel. Puis, abaissant son profond regard, elle ajoute :

« Tout passe, ma fille et la béatitude n’a pas de fin. Souffre et aime : mon Fils couronnera bientôt tes efforts et tes labeurs. Ne crains rien, Lui et Moi, nous t’aimons ! »

« Reste-lui bien fidèle et ne lui refuse rien. Fais-lui le chemin par tes petits actes, car Il viendra bientôt. Courage, courage ! Générosité et amour ! ... L’hiver de la vie est court et le printemps sera éternel ! »

Josefa note qu’elle ne put rappeler à sa mémoire les termes mêmes de cette confidence. Mais le vendredi 17 août, quand j’allai dans ma cellule pour essayer d’en écrire quelque chose, soudain la Sainte Vierge parut, très belle et resplendissante de lumière. Souriant doucement, elle me répéta tout ce qu’elle m’avait dit, au soir de sa fête, puis elle me donna sa main à baiser, me bénit et disparut.

BONNE FETE A CHACUN

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Le cas miraculeux

 

Cela s'est déroulé de cette façon. C'était pendant l'année 1610.

Mariana de Jésus Torres, étant alors Abbesse du Couvent, dont la vertu était déjà bien connue, se distinguait pour sa dévotion pour la Vierge de Bon Succès.

 

Une nuit, dans le chœur supérieur de l'église, alors que Mariana priait devant avant Notre Seigneur présent dans le Saint Sacrement, recommandant sa communauté à la Vierge Sainte, elle remarqua une lumière douce qui était soudainement apparue dans l'air. Dans cette lumière, se trouvait Mère de Dieu accompagné par des Anges. Dans ses bras elle portait l'Enfant Divin. Submergée par l'émotion, Mariana de Jésus se mit à genoux devant Marie et, incapable de se retenir, elle demanda quel était le but de cette visite si céleste.

 

À cela la Mère de Dieu répondit avec bonté: « Je suis Sainte Marie du Bon Succès, celle que vous avez invoqué avec une affection si tendre. Votre prière m'a énormément fait plaisir. Votre foi m'a amené ici et votre amour m'a invité à vous rendre visite ». La Reine du Ciel a également dit à l'humble sœur que son désir, ainsi que celui de son Divin Fils, était qu'elle soit honoré par cette communauté comme étant sa principale abbesse et ce, jusqu'à la fin des temps.

Pour cela, la Vierge lui ordonna de faire réaliser une statue, telle qu'elle la voyait

 

de ses yeux et de lui donner le nom de Sainte Marie du Bon Succès,

 

exigeant que cette statue, une fois réalisée soit placée au-dessus du siège

 

de l'Abbesse de la communauté.

 

Ainsi, elle voulait présider au gouvernement

 

de cette Communauté qu'elle s'était réservée.

 

Remplie de confusion par cette demande, la mère Mariana répondit qu'il serait impossible de reproduire dans le bois la majesté, la beauté, la taille et autres caractéristiques de la Dame céleste.

 

En réponse, Notre-Dame lui ordonna d'ôter sa ceinture (la corde qu'elle avait autour de la taille de son habit), et avec, elle lui demanda de mesurer sa hauteur, elle-même l'aida à prendre les mesures.

 

Après cela, la Dame Céleste dit en souriant, qu'elle pouvait s'occuper du reste toute seule. Enfin, elle répéta ses ordres, expliquant à Mariana de Jésus que dans sa main droite, elle devrait tenir la crosse et les clefs du couvent, qu'elle s'était choisie pour elle-même,

assurant ainsi que les efforts de Satan pour le détruire seraient vains.

 

La Vierge du Bon Succès de Quito apparaît avec la crosse dans la main droite,

 

à la place du sceptre qu'elle porte sur la statue de Madrid.

 

Les Sœurs du Couvent de l'Immaculée Conception de Quito ont toujours eu un grand amour pour leur Abbesse Céleste. Et il ne serait pas trop de dire que la statue de la Vierge de Bon Succès, une fois complété, a rapidement été très vénérée par les gens Quito, qui la vénèrent encore fidèlement depuis près de trois siècles.

 

Nous pouvons dire, alors, que la Vierge de Bon Succès de Quito est devenue une dévotion nationale,

 

comme l'Image de Notre Dame des Douleurs qui est vénérée

 

au  Collège des Jésuites.

 

Ainsi elle nous montre comment elle veut nous prendre sous sa protection spéciale et en conséquence, tous les Équatoriens et tous les Chrétiens devraient avoir le recours a elle avec une grande ferveur et une confiance filiale. Une des façons principales de se tourner vers la Dame Céleste est de faire avec dévotion une neuvaine en son honneur. Puissiez-vous réciter ces prières de tout votre Cœur et qu'elles vous fassent du bien!

 

Que la Sainte Vierge déverse ses grâces dans vos âmes!

 

 

Suite !! 

 

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