Signe de croix sur bouche? ou Signe de croix sur front ! CE TABLEAU SUR L'AUTEL BÂTI DU CÔTé DE L'EVANGILE, AUTEL DU PèRE, DU FILS ET DU SAINT ESPRIT

 

Commentaires personnels : Le signe TAV donné par Ezékiel doit se faire sur le front.

Regardez ci-après qui a demandé de faire le signe de croix sur la bouche !!!

La Dame me fait ensuite lever la main droite en dressant deux doigts et le pouce.

http://efforts.e-monsite.com/rubrique,22eme-message,1207815.html

J’aiderai les Dominicains.

http://efforts.e-monsite.com/rubrique,26eme-message,1207877.html

La divine Trinité règnera de nouveau sur le monde.

http://efforts.e-monsite.com/rubrique,36eme-message,1207983.html

La croix dans la main, vous vaincrez votre ennemi.

Ainsi les chrétiens de ce monde auront conscience de ne faire qu’un avec l’Église et avec la Croix.

Viens auprès de cette image et présente tes demandes. Quand le temps sera là, je donnerai un message à propos

de cette image. Dis-le. Dis que cette image est destinée à tous.


viens devant cette image et présente tes demandes autant que tu le peux. »

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Dis aux théologiens que je ne suis pas satisfaite du changement apporté à la prière.

“Que la Dame de tous les Peuples, qui fut un jour Marie, soit notre Avocate” doit rester tel quel.

Ce temps, c’est notre temps.

Que tous lui présentent leurs demandes au moyen de la simple prière et la Dame les aidera

À présent, la prière est transmise comme il se doit. Dis à ceux qui coopèrent, que tous doivent prier cette prière

Miryam ou Marie est devenue la Servante du Seigneur, choisie par le Père et le Saint Esprit. De par cette élection, elle a été, dès le début, la Corédemptrice, Médiatrice et Avocate de tous les Peuples. C’est seulement au moment du départ de l’Homme-Dieu, le Seigneur Jésus-Christ, qu’elle est devenue la Corédemptrice, Médiatrice et Avocate.

Au moment du départ du Seigneur Jésus-Christ, Il a donné, d’un seul geste, Miryam ou Marie aux peuples ; Il l’a donnée comme “la Dame de tous les Peuples”.

N’a-t-il pas prononcé ces mots : “Femme, voici ton fils ; fils, voici ta Mère” ? Un seul geste, et Miryam ou Marie a reçu ce nouveau titre. »

Tu peux apporter ton aide en récitant cette prière. On ne t’en demande pas plus.

Même si vous n’avez pas la tâche facile en ce temps, agissez malgré tout dans l’esprit de votre Seigneur et Maître, Jésus-Christ. Il a précédé les hommes en tant que Dieu, en tant qu’Homme. »

Cependant, ce tableau est destiné à tous les hommes, à tous ceux qui veulent aller à la Dame de tous les Peuples.

Donnez-leur ce tableau. Le désir de la Dame est que ce tableau vienne en Hollande et, à vrai dire, à Amsterdam.

La Dame vous le demande dans un dessein bien particulier.

Comme la Dame veut encore protéger ce pays-ci , elle pose un pied dessus. Elle a voulu commencer l’action à partir d’ici, mais elle veut avoir le tableau à Amsterdam. Faites ce sacrifice !

Remettez-le aux Dominicains.

Remarquez bien que les dons qui seront faits, ne le sont pas seulement pour les Dominicains mais pour tous les besoins de l’Église.

La Dame de tous les Peuples veut simplement confier ce tableau aux bons soins

des Dominicains.

Cela n’est toutefois en rien un privilège, le tableau étant pour tous les peuples. Je reviendrai parler de ceci en particulier. »

Priez la prière et demandez l’intercession de la Dame de tous les Peuples. Et elle vous aidera. Soyez justes, authentiques et aimants les uns avec les autres.

 Il aura sa place dans la nouvelle église, l’église de la Dame de tous les Peuples. Il sera confié aux bons soins des Dominicains ; on l’installera provisoirement dans une chapelle ou une église, laissée au choix des religieux et de la donatrice. Il faudra cependant bâtir la nouvelle église le plus vite possible. »
Soudain, la Dame me montre l’intérieur d’une église.


« Ce tableau aura sa place sur l’autel bâti du côté de l’Évangile.

 

De l’autre côté, celui de l’Épître, il y aura l’autel du Père, du Fils et du Saint Esprit. »

 

La Dame dit :
« J’ai choisi pour cela les pères dominicains. C’est là que la donatrice doit placer le tableau.

Il faut que le tableau vienne rapidement à Amsterdam.

C’est Amsterdam que j’ai choisie pour être la ville de la Dame de tous les Peuples. C’est aussi la ville du Sacrement . Comprends bien toutes ces choses. »
Je vois alors une procession du Saint-Sacrement. Dans la foule, je vois entre autres des prêtres. L’un d’eux marche en tête en portant le Saint-Sacrement

Le moment est maintenant venu pour vous de parler de Marie comme Corédemptrice, Médiatrice et Avocate sous le titre de “la Dame de tous les Peuples”.

 

Pourquoi Marie vous demande-t-elle cela ? Parce qu’elle est envoyée par son Seigneur et Créateur pour, sous ce titre et par cette prière, délivrer le monde d’une grande catastrophe.

 

Vous savez que Marie veut venir comme la Dame de tous les Peuples.

 

Elle demande maintenant que les gens entendent ce titre dans votre bouche, vous le Saint-Père.

 

La pensée mariale va se répandre en ce temps. Amsterdam va devenir le centre de la Dame de tous les Peuples. C’est là, par l’intermédiaire de ce tableau, que les peuples feront la connaissance de la Dame de tous les Peuples

 

et qu’ils lui demanderont, en l’invoquant sous ce titre, l’unité ainsi que l’unité parmi les peuples.

 

Ce tableau précèdera le dernier dogme marial.

 

Il vous faut devenir une grande communauté dont je confie la conduite aux pères dominicains.

 

Qu’ils prennent conscience de ce que je remets entre leurs mains ! »

 

Commencera alors la grande œuvre : le couronnement de Marie,

la proclamation

du dogme de Corédemptrice, Médiatrice et Avocate.

Il convient cependant auparavant que l’Église et les peuples présentent leurs demandes à Marie en l’invoquant sous son nouveau titre et qu’ils prient sa prière pour obtenir que soient détournées de ce monde la corruption, les calamités et la guerre. S’ils font cela, les peuples d’Europe pousseront un soupir de soulagement après 54. »
La Dame regarde à présent le globe sur lequel elle se tient et dit :

 


« Viendra alors la grande tâche mondiale. »

 

Apportez Marie dans votre pays en tant que Dame de tous les Peuples. C’est de là que partira la grande action mondiale. Le temps est venu et il est très bref. Marie est là, telle une Mère qui veut aider ses enfants. Demandez et elle vous aidera sous ce nouveau titre. »

Il peut autoriser la prière comme étant la mienne. Il peut autoriser l’érection de l’église.

Les signes sont contenus dans mes paroles, dis-le lui.

Dis-lui aussi que la Dame veut que son image soit maintenant exposée en public accompagnée des mots selon lesquels la prière vient de sa Mère, Marie, qui veut aussi être sa Dame de tous les Peuples. Dis-lui : Marie en prend l’entière responsabilité.

Le Saint-Père, deux doigts levés, fait alors une déclaration dans une langue que je ne comprends pas.

Et voici le signe : il est donné à la Dame de tous les Peuples de venir, sous ce titre, tous les ans auprès de ses enfants, auprès de ses apôtres, auprès de tous les peuples.

Je t’assisterai et je t’aiderai. Il faut que le tableau soit exposé en public.

Demande-le à ton évêque. Il autorisera le transfert du tableau.

Il autorisera l’érection de l’église que je t’ai montrée.

Elle vaincra satan


La Dame marque une nouvelle pause et dit :


« Non, satan n’a pas encore été expulsé.

 

Il est donné à la Dame de tous les Peuples de venir à présent pour expulser satan.

 

Elle vient annoncer le Saint Esprit.

 

C’est seulement maintenant que le Saint Esprit va venir sur cette terre.

 

Vous devez cependant prier la prière que j’ai donnée.

 

Vous devez penser tous les jours et à tout moment à la prière que la Dame de tous les

 

Peuples a donnée à ce monde, en ce temps.

 

Dieu seul sait à quel point satan règne.

 

Il vous envoie maintenant, à tous les peuples, sa Mère, la Dame de tous les Peuples.

 

Elle vaincra satan, comme cela a été prédit.

 

 

Elle posera les pieds sur la tête de satan. »

 

La Trinité

Très soucieuse, la Dame dit alors :
« Peuples, ne vous en laissez pas conter par de faux prophètes ! N’écoutez que Lui, Dieu le Père, le Fils et le Saint Esprit.

 

Car le même Père est le même Fils. Le même Père et Fils est le même Saint Esprit. »

 

Vous ne connaissez ni la grandeur ni l’importance qu’a cette prière auprès de Dieu.

 

Il exaucera sa Mère quand elle voudra être votre Avocate. »

 

Comprenez bien ces paroles quand je dis : vous devez veiller à ce que tous les ans les peuples se rassemblent autour de ce trône, près de ce tableau. »

 Présentez donc en son nom vos demandes au Père, au Fils et au Saint Esprit qui maintenant plus que jamais va venir

Jamais encore la Mère de Dieu ne vous a suppliés

La Dame marque une longue pause. Puis, regardant autour d’elle, elle dit :
« Maintenant, la Dame, prenant les personnes présentes à témoin, te fait voir où

et comment sera érigée l’église de la Dame de tous les Peuples. »
La Dame reste de nouveau un long moment sans rien dire. Puis, c’est comme si on se trouvait tout à coup dehors, sur un terrain. La Dame me montre à présent l’endroit précis où il faut construire la nouvelle église. Elle indique le côté gauche et dit :
« Regarde bien ! Pas là-bas mais ici. »
Elle indique à présent le côté droit.

 

Les autels


Sur l’estrade, il y a trois autels placés en demi-cercle. Me montrant celui du milieu, la Dame me dit :
« Au milieu, la croix, le miracle quotidien, l’autel du sacrifice de la Croix. »
La Dame me montre ensuite un tabernacle bas surmonté d’une petite croix. Puis l’autel du côté de l’Épître. Les mains jointes, elle dit sur un ton plein de solennité et de respect :
« L’autel du Père, du Fils et du Saint Esprit. »
La Dame me montre alors l’autel du côté de l’Évangile et dit :
« De ce côté, l’autel de la Dame de tous les Peuples. Regarde bien : au même niveau. On a l’impression d’avoir un seul demi-cercle : un grand demi-cercle et, de chaque côté, un petit. »
Si je vois trois autels, ils semblent n’en former qu’un, un seul demi-cercle bien qu’il y en ait trois.

 

Les reliefs derrière les autels
La Dame dit alors :
« Au milieu, l’autel. Derrière, une représentation de la Cène. »
La Dame me fait voir à présent distinctement les reliefs qui se trouvent derrière les trois autels. Derrière l’autel central, une Cène occupe la quasi-totalité du mur concave.

Le Christ a les traits d’un personnage splendide et digne.

 

Devant lui, un calice. Dans les mains, il tient une hostie qu’il semble rompre.

 

Les apôtres l’entourent, à moitié allongés autour de la table.

 

La Dame se dirige avec moi côté Épître ; elle dit :


« Tu vois ici le Père, siégeant sur le globe. »

 

Sur le mur du fond, côté Épître, je vois une représentation du Père, du Fils et du Saint Esprit.

 

Le Père est représenté siégeant sur le globe. Une croix se dresse sur sa main droite.

 

Au-dessus de lui, il y a une colombe de laquelle émanent de tous côtés des rayons.

 

La Dame dit :


« La croix dans la main, Il est recouvert de l’ombre du Saint Esprit représenté sous la forme

 

d’une colombe de laquelle émanent de tous côtés des rayons. »

 

Le célibat


Alors que nous sommes ressorties de la chapelle, la Dame dit :
« Et puis je tiens encore à te dire que la Dame t’a mise à l’épreuve. »


Du pouce, elle fait soudain un signe de croix sur ses lèvres et dit :
« Ne répète pas ce que je te dis là. »

 

Elle dit ensuite :
« Dis au sacristain du Saint-Père qu’il communique ceci : le célibat reste toujours la grande force de l’Église. Il y en a qui veulent changer cela. Dis-le lui seulement en cas de situation exceptionnelle. Il me comprendra.

Il faudra que le dogme de Corédemptrice, Médiatrice et Avocate soit proclamé avant 1960.

http://efforts.e-monsite.com/rubrique,marie-coredemptrice,1208014.html

 

 http://qe.catholique.org/pratique-religieuse/18811-quel-est-le-sens-du-signe-de-croix

Quel est le sens du signe de croix ?

Front - poitrine - épaule gauche - épaule droite. Au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit, Amen... On le fait sans y prêter attention. Pourtant le signe de croix est un acte magnifique qui recèle de nombreux messages.

Voilà bien le geste chrétien le plus systématique et le plus courant qui soit. Un enfant en parlait avec humour comme du « numéro de téléphone » de Dieu ! Il est vrai que, quand on veut l’appeler, se mettre en sa présence, hop ! on trace ce geste de la main droite (front/poitrine/épaule gauche/épaule droite), et la prière peut commencer.

Le catéchisme de l’Église catholique enseigne que « le signe de la Croix nous fortifie dans les tentations et dans les difficultés » et précise que, pour ce faire, le chrétien commence sa journée, ses prières et ses actions par le signe de croix. (§ 2157).

Cependant, ce mouvement, bien rôdé chez les catholiques, connaît quelques variantes, notamment chez les orthodoxes et les chrétiens de rite oriental (églises byzantines russes, ukrainiennes, grecques catholiques, melkites, roumaines, italo-albanaises ainsi que les coptes et chaldéens) qui tracent le signe de croix selon un mouvement de droite à gauche : front, poitrine, épaule droite, épaule gauche. La raison en est simple. Comme chez les Latins, le prêtre byzantin bénit en traçant la croix de haut en bas puis de gauche à droite. Quant au fidèle, il reçoit (on pourrait presque dire “attrape”) la bénédiction donnée, “lancée” par le prêtre et l’accompagne sur son corps comme un miroir, d’où le mouvement identique de haut en bas et inversé de droite à gauche. Ainsi, a été adopté l’usage d’inverser le « sens » du signe de la croix.

Ces mêmes orthodoxes et Églises de rite oriental ont une autre coutume. Au moment de se signer, ils resserrent le pouce, l’index et le majeur, liés pour représenter la Trinité, et replient l’annulaire et l’auriculaire dans la paume pour signifier la double nature du Christ. Une sacrée gymnastique des doigts pour qui n’y est pas familier !

Loin d’être sujet de division, le signe de la croix rassemble des milliards de personnes, croyants ou en recherche.

Et ceux qui se signent, réaffirment symboliquement deux points de foi essentiels : d’une part la Sainte Trinité - Père, Fils et Saint- Esprit - et le salut de l’humanité entière par la croix du Christ. Chacun accueille ainsi la croix dans sa vie et accepte de s’unir au sacrifice d’amour de Jésus qui vient sauver le monde.

http://www.lourdes-magazine.com/article.php3?id_article=677&lang=fr

Le signe de la Croix
par Mgr Jacques Perrier, évêque de Tarbes et Lourdes

Toute la vie terrestre de Bernadette s’inscrit entre deux signes de croix : celui de son baptême et celui qu’elle fit, à l’heure de la mort, d’une manière admirable, disent les Annales de la Congrégation.

Le 11 février 1858, le signe de croix est au centre de l’Apparition.

Bernadette est troublée : elle entend le vent, sans que les branches des arbres ne remuent ; elle voit une lumière dans la paroi du rocher. Bernadette se frotte les yeux pour vérifier si ce n’est pas une illusion.

Car, si Bernadette n’a jamais voulu tromper les autres,

elle ne veut pas non plus être trompée.

Bernadette a beau se frotter les yeux, la lumière demeure. Il est temps de recourir à un moyen plus efficace : le chapelet, avec la petite croix qui se trouve à son extrémité.

Je mis ma main dans ma poche ; j’y trouvai mon chapelet. Je voulais faire le signe de la croix ; je ne pus porter la main au front ; elle m’est tombée.

La vision fit le signe de la croix.

Alors, ma main tremblait ; j’essayai de le faire et je pus. Bernadette ajoute, dans un autre récit : Aussitôt que j’eus fait le signe de la croix, le grand saisissement que j’éprouvais disparut. Je me mis à genoux et je dis le chapelet.

A partir de ce moment, Bernadette n’aura plus jamais peur de l’Apparition. Elle n’aura même plus jamais peur de rien.

Le signe de croix a été la clé de tout ce qui suivit.

La Croix annonce l’appel à la pénitence que répercutera Bernadette mais qu’elle commencera par vivre elle-même, la première, dans la maladie.

Mais la Croix annonce aussi, et permet de comprendre, l’Immaculée Conception : l’innocence de Marie, comme notre délivrance du péché, sont des fruits de la Croix. Alors que la Dame ne remue pas les lèvres pour les Ave Maria, elle trace sur elle-même le signe de la Croix parce que, autrement que nous, mais plus radicalement encore, elle a été sauvée par la Croix.

 

Un geste qui va à l’essentiel
Dans le message de Lourdes, la croix annonce l’appel à la pénitence, que répercute Bernadette, mais qu’elle commencera par vivre elle-même. Quand les pèlerins reçoivent le sacrement de la réconciliation, le signe de la croix symbolise un nouveau départ dans leur vie.

 

Marie est souvent considérée comme la catéchiste de Bernadette, celle qui réussit là où la nourrice de Bartrès avait totalement échoué, celle qui la préparera à sa Première Communion. Si Marie est la catéchiste de Bernadette, remarquons que sa catéchèse commence par un geste qui va déjà à l’essentiel. Je crois que c’est la Sainte Vierge qui lui avait appris sa théologie

dans le signe de la croix

qu’elle lui fit faire si parfaitement

que ce fut un objet d’admiration pour tous ceux qui le virent faire à la Servante de Dieu toute sa vie.

Le 14 septembre 2008, dans son homélie à Lourdes, pour la solennité de la Croix glorieuse, le pape Benoît XVI déclarait : Il est significatif que, lors de la première Apparition à Bernadette, c’est par le signe de la Croix que Marie débute sa rencontre. Plus qu’un simple signe, c’est une initiation aux mystères de la foi que Bernadette reçoit de Marie. Le signe de la Croix est, en quelque sorte, la synthèse de notre foi, car il nous dit combien Dieu nous a aimés ; il nous dit que, dans le monde, il y a un amour plus fort que la mort, plus fort que nos faiblesses et nos péchés.

Désormais, Bernadette fera l’admiration de tous par la manière dont elle faisait le signe de croix.

Elle n’aimait pas, cependant, qu’on l’oblige à reproduire le geste, tel que la Dame le lui avait montré.

Elle pensait que c’était manquer de respect à la Vierge que de prétendre l’imiter. Le Père Sempé rapporte un dialogue avec Maître Dufo, bâtonnier des avocats de Lourdes : Est-ce que vous y croyez, vous, M. Dufo ? - Certainement. - Pourquoi ? - Si vous aviez vu comme moi Bernadette faire le signe de la croix, certainement, vous croiriez vous-même. Ce n’est qu’au ciel qu’on peut faire ainsi le signe de la croix.

 

Elle prêchait par l’exemple
La première rencontre de Marie et de Bernadette est marquée par le signe de la croix. La croix annonce, et permet de comprendre, l’Immaculée Conception : l’innocence de Marie, comme notre délivrance du péché, sont des fruits de la Croix.

 

Quand elle arriva à Nevers, les postulantes qui entouraient Bernadette auraient bien voulu l’imiter. Sa manière de faire le signe de croix me touchait profondément ; plusieurs fois, nous avons essayé de le reproduire, mais en vain. Nous disions alors : On voit bien que la Sainte Vierge elle-même le lui a enseigné.

Une des sœurs semble avoir eu plus de chance : J’aimais surtout à la voir prier… Que de fois je me suis surprise à faire le signe de la croix avec elle, tant je le trouvais bien fait.

Certains témoins nous en disent plus sur ce qui faisait l’originalité de ce signe de croix. D’abord, il n’était pas mesquin. J’avais souvent remarqué, lorsqu’elle faisait le signe de la croix : il y avait dans son attitude, dans l’ampleur de son geste, quelque chose d’élevé, de surhumain que je ne savais m’expliquer, mais que je cherchais à imiter, sans y parvenir bien sûr ! C’est que je n’ai pas eu la Sainte Vierge pour maîtresse. Une autre précise qu’elle ne craignait pas de porter la main jusqu’aux épaules. Cette notation montre que les signes de croix bâclés sont de tous les temps et que cela pouvait arriver même à des religieuses.

 

La maîtresse des novices, Mère Vauzou, avait été impressionnée par les signes de croix de Bernadette. Elle qui n’était pas prodigue en éloges, surtout à l’égard de Bernadette, recommandait cependant à ses novices de prendre modèle sur elle : Faites le signe de la croix comme vous le voyez faire à Sœur Marie-Bernard.

 

Le 11 février, avant que la Dame ne le lui montre, peut-être Bernadette aurait-elle fait le signe de croix machinalement.

Mais, maintenant que la Vierge lui en avait révélé la beauté, elle tolérait mal de le voir

malmené.

Pour le dire à ses compagnes, elle a des mots tout simples. J’ai remarqué la manière dont elle faisait le signe de la croix. Il était large et elle le faisait avec lenteur et respect. Elle remarqua que je le faisais trop vite. Elle m’en reprit aimablement, me faisant observer que c’était mal : Il semble qu’il te tarde de voir l’exercice terminé. La même sœur, qui était une proche de Bernadette, rapporte un autre propos : Elle ne pouvait supporter qu’on le fît négligemment. Un jour, ayant fait moi-même mon signe de croix très imparfaitement, la vénérable me demanda si j’avais mal au bras ou si j’étais pressée.

Ces petites remarques de Sœur Marie-Bernard à ses consœurs montrent que, si elle se cachait, elle n’était pas enfermée dans une bulle. Elle prêchait par l’exemple mais, quand il le fallait, par la parole : Il faut y faire attention, me dit-elle, car c’est beaucoup de bien faire le signe de la croix.

http://www.lourdes-magazine.com/article.php3?id_article=675&lang=fr

 Bien faire le signe de la Croix, c’est déjà beaucoup »
Rencontre avec le Père Horacio Brito, Missionnaire de l’Immaculée Conception et recteur des Sanctuaires Notre-Dame de Lourdes

 

Père Brito à la Grotte des Apparitions
Le recteur des Sanctuaires de Lourdes connaît en profondeur le message de la Vierge transmis par Bernadette.

En 2010, commence un cycle de trois années consacré à la prière avec Bernadette.

Avec elle, avant de prier le Notre Père (2011), puis le chapelet (2012),

nous commençons à faire le signe de la Croix (2010).

Dans l’expérience de la sainte, ce signe a une importance particulière.

Dès le début des dix-huit apparitions dont elle a bénéficié,

la Vierge Marie lui a appris à accomplir ce geste fondamental.

Son grand amour pour Jésus s’en est trouvé éclairé, nourri, orienté. C’est ainsi que la vie de Bernadette est devenue un chemin pascal puisque vécue avec Jésus dans le mystère de la Croix.

Depuis son baptême jusqu’à sa sépulture,

la vie de tout baptisé est placé sous le signe de la Croix.

 

Bernadette savait-elle faire le signe de la Croix correctement lorsque la Vierge lui est apparue ?

Oui, ses parents le lui avaient appris. Quand survient la première apparition, le 11 février 1858, Bernadette décrira une petite demoiselle au creux du rocher : « Je voulais faire le signe de la Croix, je ne pus pas. Ma main tomba. Alors je fus un peu saisie de frayeur, cependant je ne m’en fus pas. La vision fit le signe de la Croix, j’essayai moi aussi de le refaire, alors je pus. Et dès que je l’eus fait, je fus tranquille. » Pourquoi la main de Bernadette resta-t-elle paralysée ? Tout simplement parce qu’elle faisait ce geste avec le souhait de se protéger. Bernadette le confiera elle-même : « J’ai eu peur ». Elle ajoutera qu’elle put le faire quand la dame accomplit elle-même ce geste.

Et voilà que Marie qui n’a pas besoin de se protéger fait le signe de la Croix pour dire qu’Elle, l’Immaculée, est le fruit de la croix du Christ .

Ainsi à la grotte de Massabielle, dès la première apparition, notre humanité est déjà représentée par la personne de Bernadette et aussi par celle de Marie.

En plantant la croix entre sa personne et celle de Bernadette,

la Mère de Dieu nous révèle que le passage d’une humanité blessée par le péché à une humanité renouvelée par Dieu se fait par la croix.

Ainsi, par la simplicité et la profondeur de ce simple geste Bernadette est introduite, par Marie, au cœur du mystère pascal, au cœur de l’Evangile. C’est pourquoi, lors de son pèlerinage à Lourdes en 2008, le Pape Benoît XVI a dit : « Dans le signe de croix fait par Marie et Bernadette, se trouve tout le message de Lourdes. »

 

 

Comment Bernadette faisait-elle le signe de la Croix après ses rencontres extraordinaires avec l’Immaculée ?

Son signe se caractérisait par sa lenteur, son amplitude et le recueillement avec lequel elle l’effectuait. Cet enfant donnait l’impression de s’envelopper dans le signe de la Croix comme on s’enveloppe dans un châle. Bernadette se présentait telle qu’elle était devant le Bon Dieu. Devenue religieuse, elle a été questionnée par une sœur de la Charité de Nevers :

« Que faut-il faire pour être sûre d’aller au Ciel ? »

Elle a répondu aussitôt : « Bien faire le signe de la Croix, c’est déjà beaucoup. »

Bernadette recevra le charisme de la Croix.

Quelques instants avant sa mort, le 16 avril 1879, les sœurs qui l’entouraient au moment de son agonie ont témoigné qu’après avoir rassemblé en elle-même ses ultimes forces, elle fit le signe de la Croix et expira. Bernadette est entrée dans les Apparitions en faisant le signe de la Croix, et elle est entrée dans la Vie éternelle en faisant le signe de la Croix.

 

 

Que représente le signe de la Croix, spécialement pour tout baptisé ?
Photo tirée du prochain film sur Bernadette à Nevers, réalisé par Catherine Albrech et Philippe Cabidoche avec des bénévoles.

La croix se caractérise par un poteau et une traverse sur lesquels les Romains attachaient les condamnés, les bras écartés, dans le seul but de les faire souffrir jusqu’à ce qu’ils meurent. La croix représente ce qu’il y a de plus négatif : la violence, la souffrance et la mort. Mais c’est précisément ce poteau et cette poutre que Dieu a choisi afin de manifester son amour pour tout être humain.

Le Père, en nous donnant son Fils sur le poteau de la Croix vient nous rejoindre au cœur même de notre souffrance et bien sûr de notre mort.

Au moment du baptême, nous recevons le signe de la Croix, et nous recevons aussi la clé de notre vie.

Car en prononçant les paroles qui accompagnent ce geste :

« au nom du Père et du Fils et du Saint Esprit », nous dévoilons notre vocation chrétienne la plus profonde, de la même manière que le Père aime son Fils et vice versa ainsi je désire aimer mes frères et la force de l’Esprit-Saint m’est donnée pour accomplir cette mission.

La vocation chrétienne est profondément trinitaire, c’est pour cela que le Seigneur nous dira « à l’amour que vous aurez les uns pour les autres on vous reconnaîtra comme mes disciples ». La vocation chrétienne est celle de vivre en communion avec Dieu et avec ses frères. Je crois personnellement que c’est celui-là le but de la demande de Marie à Bernadette : « Priez Dieu pour les pécheurs ».

 

 

Où pouvons-nous reconnaître le signe de la Croix, et ses effets dans nos vies ?

Là où il y a en même temps le péché et la conversion, la misère et la solidarité, la mort et la présence du Sauveur du monde, là-même se trouve le signe de la Croix du Christ.

A Lourdes, le grand signe qui est donné est bien celui de la Croix. C’est dans la relation qui s’établit entre le malade et l’hospitalier que nous est dévoilé ce grand mystère. Tout geste de charité tourné vers le service de l’autre rend présent le mystère de la Croix.

Quels gestes pouvons-nous faire pour vivre au mieux ce thème d’année ?

Nous pouvons faire le signe de la Croix avant chaque prière devant une image qui représente Marie ou le Christ, devant la Grotte ou à la messe. Un autre geste serait de rendre autour de nous de petits services qui nous permettraient de nous oublier nous-mêmes pour nous rendre présents dans la vie des autres.

http://www.pelerinages-namurois.be/histoirelourdes.htm

Tout commence le 11 février 1858…  Bernadette Soubirous fait partie des plus pauvres de Lourdes, par son humilité, sa pauvreté d’argent, de culture, de santé… Et c’est elle que Notre-Dame choisit pour lui transmettre un message vivant de foi qui très vite atteindra le monde entier.

 

Que retenir de ce message ?

- Au cours des dix-huit apparitions, la Sainte Vierge passe plus de temps à se taire qu’à parler.  A ses yeux le silence a du prix.  Son silence apprend à Bernadette, et, par elle, au peuple de Dieu, le prix du recueillement.  Pour pénétrer les cœurs, Dieu a besoin de recueillement et de paix.  Le silence est donc essentiel, non seulement en pèlerinage, mais dans le quotidien de notre vie.

- Notre-Dame éduque Bernadette au signe de la croix : un vrai, lent et large signe de croix, sans ostentation, de toute sa foi, et avec un grand amour.

L'Eglise est très présente dans la période des apparitions, surtout, parce que Bernadette est chargée d'une mission auprès "des prêtres" : une procession et une chapelle. Malgré le mauvais accueil du curé Peyramale, Bernadette revient au presbytère.

De la part du curé, elle demande son nom à la Dame qui finit par lui dire : "Je suis l'Immaculée Conception".

Bernadette a transmis le message.

http://www.mariedenazareth.com/384.0.html?&L=0 

Le 2 mars, la Dame charge Bernadette de mission : "Allez dire aux prêtres qu'on vienne ici en procession et qu'on y bâtisse une chapelle."

C'est seulement à la 16ème apparition, le 25 mars, en la fête de l'Annonciation, que la Dame donne son nom :

"Je suis l'Immaculée Conception."

Tous les papes ont manifesté un particulier attachement à Lourdes

Les apparitions de Lourdes venant quatre ans après le dogme de l'Immaculée Conception, tous les papes ont manifesté un particulier attachement à Lourdes.

Dans les listes de sanctuaires marials, Lourdes est toujours en tête.

Léon XIII écrivit une Encyclique pour la consécration de la Basilique Notre-Dame du Rosaire, en 1901.

Jean XXIII, quant à lui, consacra la Basilique saint Pie X, quelques mois avant de devenir pape. Le pape Jean-Paul II est venu présider à Lourdes les fêtes du 15 août 1983 et s'y est de nouveau rendu en pélerin pour la fête de l'Assomption du 15 août 2004.

http://www.mariedenazareth.com/4142.0.html?&L=0#c12299 

« Il faut que s'accomplisse tout ce qui est écrit de moi dans la Loi de Moïse, les Prophètes

et les Psaumes. »


(Lc  24,44 ) 

   « Le Ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront pas »

(Mt 24,35) 

  « Objet de mépris, abandonné des hommes, homme de douleur, familier de la souffrance, comme quelqu'un devant qui on se voile la face, méprisé, nous n'en faisions aucun cas.

Or ce sont nos souffrances qu'il portait et nos douleurs dont il était chargé.

Et nous, nous le considérions comme puni, frappé par Dieu et humilié.

Mais lui, il a été transpercé à cause de nos crimes, écrasé à cause de nos fautes. Le châtiment qui nous rend la paix est sur lui, et dans ses blessures nous trouvons la guérison.

Le Seigneur a fait retomber sur lui nos fautes à tous.

Maltraité, il s'humiliait, il n'ouvrait pas la bouche, comme l'agneau qui se laisse mener à l'abattoir, comme devant les tondeurs une brebis muette, il n'ouvrait pas la bouche.

Par contrainte et jugement il a été saisi.

Parmi ses contemporains, qui s'est inquiété qu'il ait été retranché de la terre des vivants, qu'il ait été frappé pour le crime de son peuple? 

On lui a donné un sépulcre avec les impies et sa tombe est avec le riche, bien qu'il n'ait pas commis de violence et qu'il n'y ait pas eu de tromperie dans sa bouche. 

Par lui la volonté de Le Seigneur s'accomplira.

A la suite de l'épreuve endurée par son âme, il verra la lumière et sera comblé. Par sa connaissance, le juste, mon serviteur, justifiera les multitudes en s'accablant lui-même de leurs fautes.

C'est pourquoi il aura sa part parmi les multitudes, et avec les puissants il partagera le butin, parce qu'il s'est livré lui-même à la mort et qu'il a été compté parmi les criminels,

alors qu'il portait le péché des multitudes et qu'il intercédait pour les criminels. »
(Is 53,1-12)

Jésus meurt sur la Croix.
Une lance lui transperce le cœur et il en sort du sang et de l’eau.

Image de Marie avec le cœur transpercé, au Saint Sépulcre de Jérusalem.

   « Et toi, une épée te transpercera le Cœur, afin que soient révélées les pensées d’un grand nombre »
(Lc 1,50)
   « Il me ramena à l'entrée du Temple, et voici que de l'eau sortait du côté droit du Temple, au sud de l'autel.

Il me dit: "Cette eau s'en va vers la mer en sorte que ses eaux deviennent saines. Partout où passera le torrent, tout être vivant qui y fourmille vivra, car cette eau vient du sanctuaire."» 
(Ez 47,1-12)

Le Samedi Saint est le jour du grand repos de Dieu. Jésus qui s’est endormi dans la mort accomplit parfaitement le Sabbat, du vendredi soir au dimanche matin.

Dans l’attente de la Résurrection, toute la foi du monde est alors rassemblée dans le Cœur de Marie.

Ecoutez l’Ecriture et les Promesses de Dieu pour son Messie : « Il sera la lumière des nations et la connaissance de notre Dieu remplira la terre toute entière » (Is 49,3)
 
« Son salut atteindra jusqu’aux extrémités de la terre » (Is 49,5)
 
« En Lui seront bénies toutes les races de la terre, tous les païens le diront bienheureux » 
 
Il viendra inaugurer cette « alliance nouvelle » dont parle le prophète Jérémie (Jr 31,31).
 
Attendons avec confiance car Isaïe l’a annoncé au Roi Achaz : « Le Seigneur Lui-même vous donnera un signe :

"Voici que la Vierge est enceinte !

Elle enfantera un fils et on l’appelera Emmanuïl" c'est-à-dire "Ilohim avec nous" ».

 

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Ensemble bâtissons le Centre international Marie de Nazareth

 

 http://www.mariedenazareth.com/4121.0.html?L=0

La Carte mariale du monde

La Carte mariale du monde a vocation à rassembler à différents niveaux les plus grands sanctuaires comme les plus petits lieux de dévotion. Elle permettra une découverte et une exploration à différentes échelles, des nombreux lieux et sanctuaires marials de chaque partie du monde, en proposant de les découvrir davantage.

Bientôt disponible sur Internet et sur écran géant dans les Centres marials, la Carte mariale du monde pourra être enrichie par n'importe qui après validation des informations envoyées par l'Association MDN. Dès aujourd'hui, il est possible pour chaque sanctuaire, lieu de dévotion, chapelle, église ou institution dédiée à Marie

Suite !! 

http://efforts.e-monsite.com/pages/signe-de-la-croix-ou-signe-tau-sur-le-front-donne-par-ezekiel.html

 

 

 

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