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Position de l'Eglise SUR LES APPARITIONS MARIALES ?

http://vincent.detarle.perso.sfr.fr/catho/apparitions.htm

Apparitions récentes ou actuelles

Amérique
Canada Fille du Oui
Canada Marcel
Canada M. Boisvert

Canada Marmora
Canada Dupuy
Canada Carmélite
Canada Père Doucette
Canada L. Lachance
USA V. Lueken
USA Conyers
USA Sullivan
(angl.)
USA
L. S. Tomkiel

USA Carol Ameche
USA John Leary
USA Little Mary

Jennifer
-----------------
Venezuela J. Antonio

Venezuela Bétania
Argentine St Nicolas
Bolivie C. Rivas
Europe
Allemagne Marpingen
Autriche Maria Simma
Espagne
L'Escorial 
Espagne
Garabandal
Espagne
Umbe
France Axelle
France Agnès Marie

France Dijon
France Françoise
France Jean Marc
France JNSR
France Dozulé

Vassula

Italie St Martino
Italie
Mirella Pizzioli
Italie Manduria
Italie Ostina
Italie
S. Damiano
Italie
Marisa

Italie
Pierina Gilli
Italie
Balestrino

Italie
Ghiaie di Bonate
Croatie Medjugorje
Croatie
kurescek
Hongrie
Kindelmann
Roumanie
Seuca
Moyen Orient
Syrie Myrna

Égypte
Zeitoun
Inde
Kallianpur

Afrique

Burkina M.R.Kaboré
Rwanda Kibého

Asie
Corée du s.
Naju
Japon Akita
Vietnam Van

Apparitions anciennes

Allemagne (1946) Marienfried
Belgique
(1933) Banneux
Belgique
(1932-33) Beauraing
Espagne
(1449)
Cubas
France
(1938 - 65) Kerizinen
France
(1859) Lourdes
 

France
(1840) Blangy
France
(1846) la Salette
 

France
(1947) L'Ile Bouchard
France
(1830) rue du Bac
 

France
(17??) Pancheraccia
France
(1664-1718) ND du Laus
Hollande
(1959) Amsterdam
Inde
(1580) Velankanni

 
Italie (1947 et 66) Montichiari
Portugal
(1915 - 17) Fatima

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Personnes qui ont accepté de souffrir volontairement pour sauver
des âmes ou (et) qui ont reçu le don de faire des miracles de leur vivant.

Italie Fratel Cosimo (né le 27.01.1950)
Irlande Sœur Briege McKenna
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Canada
Georgette Faniel
(1915 - 2002)
Canada Père Émilien Tardif
(1928 - 1999)

France Marthe Robin
(1902 - 1981)
Italie Padre Pio (1887 - 1968)
Italie M. Valtorta (1897 - 1961)

Italie Louise Piccarreta (1865 - 1947)
France Marie Julie Jahenny (1850 - 1941)
France Le Curé d'Ars
(1786 - 1859)
Allemagne A. C.Emmerich (1774 - 1824)

Si vous désirez figurer un jour sur la liste,
le chapitre sur la sainteté est peut-être fait pour vous

 http://www.communaute-dame.qc.ca/dame/DTP_Eglise_FR.htm

 

POSITION OFFICIELLE DE L'Eglise

PLe dôme de la Basilique Saint-Pierre de Rome

Une grande lutte contre la Dame de tous les Peuples
Dès le début des apparitions, les Messages de la Dame de tous les Peuples ont suscité une grande controverse au sein même de l’Église. Une première commission d’enquête aboutit, en 1956, à un jugement négatif qui parut, sans signature, dans L’Osservatore Romano du 25 mai 1974, en page 2. Or, bien vite les failles de l’enquête apparurent au grand jour. De plus, cette enquête fut menée à une époque où «les signes contenus dans les paroles de Marie» (La Dame de tous les Peuples, 4 avril 1954) n’étaient pas encore réalisés. Il fallait donc attendre les événements.

Plus de 200 imprimatur accordés à la prière
Pourtant, la Prière que la Dame donna à la voyante le 11 février 1951 fut traduite en plusieurs langues et reçut plus de 200 imprimatur, donnés par des Cardinaux, Évêques et Vicaires généraux du monde entier.

«Une enquête n’est pas infaillible»
S’il est vrai qu’au début les Paroles et les Images de la Dame semblaient énigmatiques, il appert que c’est Raoul Auclair, résidant alors à Paris, qui eut l’insigne honneur, par la grâce de Marie, lors d’une conférence donnée à Paris le 19 février 1966, d’attirer l’attention du public sur les Messages et d’en expliquer la dimension eschatologique. Dès lors, sa conférence fut traduite en plusieurs langues, et bien vite se répandit dans le monde la Prière de la Dame, pour que tous les Peuples la récitent afin d’être «préservés de la corruption, des calamités et de la guerre».

En décembre 1979, Raoul Auclair se rendit à Rome où il rencontra Son Éminence le Cardinal Seper, alors Préfet de la Sacrée Congrégation pour la Doctrine de la Foi, qui lui confia: «Une enquête, ce n’est pas infaillible. Elle peut être rouverte.»

Depuis lors, des développements nouveaux ont été soumis à l’attention de l’Église. Et l’Église ne se ferma pas à la lumière de la vérité, se rappelant qu’un bon arbre ne peut produire de mauvais fruits, ni un mauvais arbre de bons fruits!

Autorisation de la dévotion publique
En effet, le 31 mai 1996, en la fête de la Visitation de Marie, Son Excellence Monseigneur Henrik Bomers, Évêque de Haarlem, aux Pays-Bas, et Monseigneur Jozef Punt, son Évêque auxiliaire, ont signé le décret autorisant la dévotion publique à la Dame de tous les Peuples dont, en 1951, la Prière avait reçu l’approbation d’un Évêque précédent de ce diocèse où ont eu lieu les apparitions. Ce décret laissait toute liberté au peuple de Dieu de se former un jugement sur les apparitions: «Sur le caractère surnaturel des apparitions et sur le contenu des Messages, lÉglise, pour le moment, ne peut se prononcer, libre à chacun de se former un jugement là-dessus, selon sa conscience.»

 http://vincent.detarle.perso.sfr.fr/catho/reconnu.htm

 http://vincent.detarle.perso.sfr.fr/catho/akita.htm

Après un silence:

" Ce que tu penses dans ton cœur, est-ce vrai? Es-tu vraiment décidée à devenir la pierre rejetée? Ma novice, toi qui veux être sans partage au Seigneur, pour devenir l'épouse digne de l'Époux, prononce tes vœux en sachant que tu dois être fixée sur la croix avec trois clous.
Ces trois clous sont la pauvreté, la chasteté et l'obéissance. Des trois, l'obéissance est le fondement. Dans un total abandon, laisse-toi conduire par ton Supérieur. Il saura te comprendre et te diriger. "

C'était une voix d'une beauté indéfinissable, comme il ne peut y en avoir qu'au Ciel. J'étais beaucoup trop impressionnée.

Cependant, au cours de l'office du soir se produisit un phénomène inhabituel qui porta la métamorphose de la main à la connaissance de toutes. L'office allait bientôt se terminer quand la statue devint à nouveau resplendissante de lumière. L’une des Sœurs, qui se trouvait au premier rang, aperçut un liquide ruisselant comme de la sueur et sortit en informer les absentes.

Sœur Agnès qui avait la tête baissée et ne se doutait de rien, sentit soudain quelqu'un à côté d'elle. Elle leva les yeux et vit l'ange qui lui parla:

"Marie est encore plus triste que lorsqu'elle versait du sang. Essuie la sueur. "

Elle se joignit aux autres qui avaient apporté un sac de coton hydrophile. A cinq, elles épongèrent la sueur avec beaucoup de précaution et de dévotion. Tout le corps en était trempé. Elles avaient beau essuyer, essuyer... Un liquide semblable à de la sueur graisseuse suintait sans arrêt, surtout sur le front et sur le cou. A la stupéfaction générale se mêlait un chagrin partagé par toutes. Sœur K. pria avec des larmes dans la voix: "Sainte Marie, pardonnez-nous de vous causer tant de tristesse et de douleur. Nous vous demandons pardon pour nos péchés et nos fautes. Protégez-nous, aidez-nous! ", et chacune de s'appliquer à essuyer avec les autres l'endroit qui se présente devant ses yeux dans une commune intention de réparation et de vénération. Les cotons sont trempés à tordre.

Après le dîner, on retourne voir la statue: elle est à nouveau en sueur. Affolées, les Sœurs recommencent à essuyer. On entend même Sœur 0., qui n'est pas d'un naturel bavard, murmurer d'une voix triste: " Mon coton ne s'imbibe pas. On dirait que cela ne coule pas quand j'essuie. " Aussitôt, comme en réponse à ses paroles angoissées, le coton qu'elle tient se met à boire comme une éponge trempée dans l'eau, ce qui l'impressionne beaucoup.

Au bout d'un moment, l'une des Sœurs fait remarquer que les cotons sentent bon. Chacune se met à sentir le sien: il s'en dégage une essence subtile dont on ne peut dire si elle tient de la rose, de la violette ou du lys. C'est le ravissement général, on n'a jamais senti une essence aussi merveilleuse. Quand Sœur 0. déclare que le plus subtil des parfums ne peut exhaler une telle suavité, et c'est bien l'avis de tout le monde, on se demande si ce ne serait pas le parfum du Paradis.

Le dimanche suivant, quand elles entrent dans la chapelle, elles sont frappées par le même parfum. La Supérieure va s'assurer qu'il vient bien de la statue tandis que les autres, restées à leur place, se sentent comme enveloppées dans les délicieuses effluves. L'abattement de la veille au soir causé par la découverte de la sueur, fait place à la paix et à la joie qui rayonnent sur tous les visages.

Le parfum resta longtemps dans la chapelle. A chaque fois qu'on y allait, on avait l'impression d'être comme transporté au Ciel.

LE TROISIÈME MESSAGE DE LA VIERGE

Peu après, ses compagnes lui confient la garde de la maison pendant qu'elles sortent en ville.
Elle en profite pour se rendre à la chapelle où elle décide de dire le chapelet.Elle raconte :


"Sortant mon chapelet, je me suis agenouillée et j'ai fait le signe de croix. A peine ce geste était-il achevé que la Voix d'une indicible beauté parvint de la statue à mes oreilles sourdes.
Dès le premier mot, je me suis prosternée à terre en concentrant toute mon attention:


" Ma fille chérie, écoute bien ce que je vais te dire. Tu en informeras ton Supérieur. "Après un court silence:

" Comme je te l'ai déjà dit, si les hommes ne se repentent et ne s'améliorent pas,
le Père infligera un châtiment terrible à l'humanité entière. Ce sera alors un châtiment plus grave que le déluge, tel qu'il n'y en a jamais eu auparavant. Un feu tombera du ciel et anéantira une grande partie de l'humanité, les bons comme les méchants, n'épargnant ni les prêtres ni les fidèles.

Les survivants se trouveront dans une telle désolation qu'ils envieront les morts. Les seules armes qui nous resteront alors seront le Rosaire et le Signe laissé par le Fils. Récitez chaque jour les prières du Rosaire. Avec le Rosaire, priez pour le Pape, les Évêques et les prêtres.

"L'action du diable s'infiltrera même dans l'Église,
de sorte qu'on verra des cardinaux s'opposer à des cardinaux, des évêques contre d'autres évêques.
Les prêtres qui me vénèrent seront méprisés et combattus par leurs confrères, les églises, les autels saccagés,
l'Église sera pleine de ceux qui acceptent les compromis et le démon poussera beaucoup de prêtres et de consacrés à quitter le service du Seigneur."

Le démon s'acharne surtout contre les âmes consacrées à Dieu. La perspective de la perte de nombreuses âmes est la cause de ma tristesse. Si les péchés croissent en nombre et en gravité, il n'y aura plus de pardon pour ceux-ci."

Avec courage, parle à ton Supérieur. Il saura encourager chacune d'entre vous à prier et à accomplir des œuvres de réparation."

LA STATUE DE MARIE VERSE DES LARMES

C'était le 4 janvier 1975, premier samedi du mois, vers neuf heures du matin, alors que les esprits étaient encore tout imprégnés de l'atmosphère joyeuse des festivités qui rythment les trois premiers jours de l'année. Je me trouvais au presbytère quand la nouvelle me fut annoncée précipitamment: " La statue de la Vierge pleure !
Comme c'était le dernier jour d'une retraite prêchée aux Sœurs, j'avais commencé à préparer le sermon, mais j'ai tout de suite déposé mon stylo pour aller voir.
Il était normal d'espérer
qu'un signe du Ciel viendrait authentifier les messages donnés à trois reprises par la Vierge à Sœur Agnès.
Je m'attendais plus ou moins à la venue prochaine d'un nouveau miracle.
En y réfléchissant bien, ce genre de prodige auquel personne ne s'attendait devait être sans aucun doute le miracle le plus approprié pour une telle cause. Grâce touchante du Ciel en harmonie parfaite avec le contenu des messages, qui remplit à tout instant le cœur d'une profonde gratitude.

Les notes et souvenirs de Sœur Agnès, qui fut l'un des premiers témoins oculaires, évoquent le jour de la première lacrymation:

"C'était après le temps de prière qui succède au petit déjeuner. Sœur K., qui mettait de l'ordre dans la chapelle, vint m'appeler en courant, alors que j'étais dans le couloir:"
- Agnès, viens voir!"
Me demandant ce qui se passait, je l'ai suivie dans la chapelle. Elle m'a montré du doigt la statue de la Vierge."

Qu'y a-t-il?, lui ai-je demandé en regardant son visage qui avait pris une couleur terreuse. Le doigt qu'elle tendait tremblait comme une feuille.

Me rapprochant de la statue, j'ai eu un choc en voyant son visage :
il y avait de l'eau accumulée dans les deux yeux."


- Oh! de l'eau.... me suis-je dit quand l'eau s'est mise tout à coup à dégouliner. De l'eau qui coule des yeux... Mais alors, ce sont des larmes!, ai-je pensé en moi-même. Est-ce que ce seraient les larmes de la Sainte Vierge?, ai-je demandé à Sœur K., mais celle-ci restait figée et ses lèvres étaient agitées d'un tremblement nerveux."

Sentant mes genoux plier, je me suis prosternée. Puis reprenant mes esprits et me disant qu'il fallait faire quelque chose, je me suis précipitée au téléphone pour avertir le Père qui se trouvait au presbytère à ce moment-là."

Ensuite, ce fut l'affolement général.
Le Père est arrivé aussitôt et toute la communauté s'est retrouvée dans la chapelle en l'espace de quelques instants. Prosternée dans le fond, je n'avais pas le courage de m'approcher de la statue. Je priais en moi-même de toutes mes forces: Sainte Marie, pardonnez-moi. C'est moi qui vous fais pleurer.
Pardon! Seigneur, pardonnez-moi parce que je suis pécheresse."

Marie pleure parce qu'on n'a pas tenu compte de toutes les grâces obtenues par son intercession !
J'étais abattue par le poids du regret."

Ce jour-là, les larmes sont apparues encore deux fois. La deuxième fois, il était une heure de l'après-midi. Comme deux Sœurs retraitantes devaient repartir plus tôt, je suis allée reprendre des médailles exposées en offrande devant la statue de Marie, car j'étais de service à la sacristie ce jour-là. Quand j'ai regardé son visage pour la saluer, après les avoir retiré de la tablette, je fus stupéfaite de voir que les larmes s'étaient remises à couler.
Je me suis sentie secouée par une émotion encore plus forte que la première fois, sans doute parce que je les avais découvertes moi-même et de tout près. Mais je me suis ressaisie et j'en ai informé une Sœur qui se trouvait à l'autre extrémité, puis je me suis dépêchée d'aller le dire aux autres.

Elles sont arrivées aussitôt avec le Père et nous avons récité un chapelet. "A quatre heures, le Père a commencé la causerie.
J'ai été touchée quand il a expliqué que ces larmes étaient la preuve de l'authenticité des messages. L’émotion que j'avais refoulée jusque-là m'a assaillie subitement et j'ai senti mon corps se vider de toutes ses énergies."

Après le sermon, le Père s'est aperçu que j'étais dans un état d'affaiblissement tel que j'étais incapable de me lever, tandis que mes compagnes semblaient avoir cru simplement que je m'attardais à prier."

La troisième fois, les larmes se sont mises à couler alors que j'étais restée ainsi pendant un long moment absorbée dans la prière. Vers six heures et demie du soir, la Sœur venue battre le rappel pour le dîner s'en est aperçue et c'est elle qui nous l'a fait remarquer. Nous étions deux à prier dans la chapelle."
Cette fois-ci, les larmes ne s'écoulaient plus par accumulation et débordement, elles ruisselaient les unes après les autres. Elles affluaient, affluaient... En un flux continuel, elles formaient des filets sur les joues, le menton, jusque sur la poitrine, et tombaient goutte à goutte."
J'ai trouvé tout juste la force de me prosterner, me répétant en moi-même sans pouvoir remuer les lèvres:"
- Sainte Marie, Sainte Marie, pourquoi à ce point... ?"

Les Sœurs qui étaient accourues semblaient elles aussi fortement impressionnées. Mêmes celles qui étaient restées perplexes les deux premières fois, peut-être parce qu'elles n'avaient pas bien vu, paraissaient convaincues cette fois-ci de l'évidence du miracle."

Monseigneur qui était arrivé entre temps et voyait les larmes pour la première fois a fait apporter de l'ouate et a essuyé lui-même au fur et à mesure."

Vingt personnes furent témoins de ces trois lacrymatoires successives. D'ordinaire, il y avait moins de dix Sœurs présentes dans le couvent, mais des membres de branches régionales s'étaient jointes à nous pour la retraite du nouvel an. Quant à moi qui ai observé le phénomène minutieusement à chaque fois, j'en ai été profondément touché.

Les deux yeux de la statue de bois brillaient, le liquide s'accumulait, débordait, ruisselait, tout à fait comme ceux d'un être humain.
Chacun en reparla ensuite comme s'il avait assisté aux larmes d'une personne vivante.
Les larmes apparaissaient sur le bord intérieur des yeux où se trouvent les glandes lacrymales, coulaient le long du nez, sur les joues, puis tombaient goutte à goutte, exactement comme une personne humaine qui pleurerait toutes les larmes de son corps en conservant la même position.
Les gouttes s'arrêtaient sous le menton comme de petites perles, s'accumulaient sur le col du vêtement, roulaient sur la ceinture, suivaient les plis de la robe et tombaient sur le globe.

Qui pourrait prétendre donner une explication naturelle à un tel phénomène ?
Les analyses scientifiques du liquide effectuées par la suite ont montré qu'il s'agissait bien de "larmes humaines".
Quand on voit sortir un liquide des yeux d'une statue de bois, alors que celui-ci est si sec qu'il est déjà craquelé par endroits, on ne peut s'empêcher de penser que ce sont les vraies larmes de Marie suscitées une nouvelle fois par la puissance créatrice de Dieu.

Qu'ils croient à la sur naturalité des faits ou qu'ils n'y croient pas, tous les témoins disent avoir été profondément touchés, car ils avaient vraiment eu l'impression de voir pleurer Marie en personne. Avec le temps, il semble que le doute se soit pourtant installé chez certains. Mais quand on tente d'éclairer le miracle avec les seules lumières de l'intelligence humaine on ne comprend rien et on ne solutionne rien; il est évident que c'est la porte ouverte au scepticisme.

Si l'on considère que le miracle transcende toutes les lois naturelles et ne peut être provoqué que par la toute-puissance de Dieu, se demander s'il s'agit d'un petit miracle ou d'un grand miracle n'a pas de sens. On ne peut que s'incliner devant le mystère en se gardant de toute argumentation creuse.

Il y a encore des gens qui non seulement prennent les faits à la légère, mais essayent par tous les moyens de faire valoir la thèse de facultés ectoplasmiques chez Sœur Agnès alors qu'ils ne peuvent avancer aucune preuve à l'appui de leurs affirmations. Or, les études scientifiques menées au cours des dix dernières années n'ont pas permis de nier le caractère surnaturel de ces phénomènes.
Il est à mon sens tout aussi impossible à l'homme de faire sortir des larmes humaines d'un morceau de bois que de changer de l'eau en vin.
J'ai le sentiment d'être en présence d'un prodige aussi inouï que celui des noces de Cana dans l'Évangile de Jean où Jésus transforme l'eau en vin.

La statue réalisée dans du bois d'arbre de Judée plus de dix ans auparavant par M. Saburô Wakasa, un sculpteur renommé de la région, avait complètement séché depuis sa réalisation et de petites fissures commençaient à apparaître.
Il est déjà miraculeux que de l'eau soit sortie d'un tel matériau, mais il est encore plus prodigieux qu'un liquide légèrement salé, de vraies larmes humaines se soient écoulées précisément des yeux.

Au début, la stupéfaction était telle que personne n'aurait eu l'idée de prendre des photos, mais on le fit par la suite et les preuves objectives restent ainsi conservées.
Comment peut-on persister à taxer ces réalités d'illusion ou d'hallucination?

Ainsi, les lacrymatoires qui ont commencé le 4 janvier 1975 se sont succédées à des intervalles plus ou moins réguliers, parfois jour après jour, jusqu'au 15 septembre 1981, jour où les larmes coulèrent pour la dernière fois.
Le phénomène s'est reproduit cent une fois.

 

 COMMENTAIRES PERSONNELS : IL EST DU DEVOIR DE L'EGLISE D'AVERTIR LES FIDELES QUE LES STATUES ET LES IMAGES QUI FONT DES MIRACLES ET DES PRODIGES SONT L'OEUVRE DU DEMON, DE l'INIQUE. NOUS ETIONS PREVENUS QU'AVEC LA FORCE DU DIABLE, BEAUCOUP DE PRODIGES ET DE MIRACLES, SURTOUT LE NOMBRE VA EN AUGMENTANT.

 

  • soit encore une apparition diabolique qui se fait passer pour mariale.  

 

  • soit encore une apparition diabolique qui se fait passer pour mariale.  

 

  • soit encore une apparition diabolique qui se fait passer
  •  
  • pour mariale.  
  •  

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/Apparition_mariale

Naju, Corée du Sud, le 22 septembre 1995

Déclaration sous la foi du serment des témoins de la transformation miraculeuse de l’Hostie et du Vin consacrés en chair palpitante et en sang lorsque Julia Kim a reçu la Sainte Communion au cours de la Célébration Eucharistique durant une Messe en plein air célébrée à l’extérieur de Naju, le 22 septembre 1995 à 17h.

Je soussigné, Mgr Roman Danylak, administrateur apostolique de l’Éparchie de Toronto pour les catholiques ukrainiens de Toronto, Canada, et évêque titulaire de Nyssa, déclare solennellement par la présente avoir concélébré la Divine Liturgie, ou Sainte Messe, le vendredi 22 septembre 1995, à 17 h, avec le R. P. Aloysius Chang, prêtre paroissial de l’Archidiocèse de Kwangju, Corée, que j’avais invité à m’accompagner durant ma visite en Corée, et le R. P. Joseph Peter Finn, prêtre retraité du diocèse de London, Canada. La célébration a eu lieu en plein air sur les lieux où, avec la grâce de Dieu, une église doit être érigée en l’honneur de la Très Sainte Vierge Marie et Mère de Dieu.

Après la liturgie de la Parole, j’ai prononcé moi-même une brève homélie. J’ai administré avec le père Chang, après la Communion des prêtres, la Sainte Communion sous les deux espèces à Julia Kim et à onze autres communiants. Au cours de la distribution de la Sainte Communion aux autres personnes présentes, j’ai soudain entendu les sanglots d’une femme qui assistait à la Messe. La Sainte Hostie que Julia avait reçue s’était changée en chair vivante et en sang. Le père Joseph Finn, resté à l’autel durant la Communion des fidèles, observait Julia ; il a remarqué qu’au moment où il s’est tourné pour l’observer, il a vu disparaître le bord blanc de l’hostie qui a pris la substance d’une chair vivante. Je suis retourné vers Julia avec le père Chang. L’hostie s’était changée en chair vivante d’un rouge foncé et elle saignait. Après la Messe, Julia nous a expliqué qu’elle avait senti la Chair Divine prendre une consistance épaisse et que le sang coulait en plus grande abondance qu’au cours des précédents miracles. Nous sommes restés en silence et en prière. Toutes les personnes présentes ont pu voir et vénérer l’Hostie miraculeuse. Après un certain temps, j’ai demandé à Julia d’avaler et de consommer l’hostie. Julia nous a par la suite confié que l’Hostie était devenue grosse et charnue, et qu’elle avait eu quelque difficulté à la consommer.

Elle a conservé un moment le goût du sang dans sa bouche. J’ai demandé qu’on lui apporte un verre d’eau de la source miraculeuse qui coule près de l’endroit. En buvant, ses doigts ont touché ses lèvres et on pouvait voir une trace de sang sur un doigt. Elle a rincé son doigt dans l’eau avant de la boire.

En témoignage de quoi j’appose ma signature accompagnée de celle de toutes les personnes présentes.

Naju, ce 22e jour de septembre 1995

(Signé)

Roman Danylak, évêque titulaire de Nyssa,

Administrateur apostolique, Éparchie de Toronto, Canada

Joseph P. Finn, Saint Peter’s Cathedral Basilica,

London (Ontario), Canada.

Aloysus Chang,

prêtre de l’archidiocèse de Kwangju.

(Signatures coréennes d’autres personnes présentes)

Raphael Song, Vivianna Cho, Ru Bi No Pork, Bi To Hna.

  • soit encore une apparition diabolique qui se fait passer
  • pour mariale.

 

 

 Suite !!

 

 

 

 

 

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